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Critique de Chocolatiine


Elda, Brunetta, Enzo... Autant de noms que de malades psychiatriques à qui la réforme engagée par Franco Basaglia a changé la vie, autant d'histoires racontées par l'un des témoins de ce travail, le psychiatre Peppe Dell'Acqua. Avec les modifications apportées à l'asile psychiatrique San Giovanni de Trieste puis sa fermeture complète, les patients reprennent en main leur existence. L'impossible devient possible.
Non ho l'arma che uccide il leone relate cette expérience qui fut un modèle pour le monde entier et conduisit à la réforme du système psychiatrique italien.
Aux récits de vie des internés succèdent, année après année, les évènements qui ont marqué cette période. Enfin, nous trouvons des contributions de Franco Rotelli, Roberto Mezzina, Pier Aldo Rovatti et Giuliano Scabia.
Ce livre est d'une richesse incroyable ! Merci.
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