Dans un monde idéal et dégagé de toutes contingences, on se poserait dans un fauteuil pour commencer cette lecture et on ne la lâcherait qu'à la fin de la phrase/roman. Voilà une chose qui n'est pas commune et que vous ne verrez pas chez tout le monde, comme dirait l'autre. Et c'est tant mieux. C'est ce qu'on demande à un roman, non ? Je comprends qu'il puisse dérouter. Moi, j'ai aimé.
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