Dieu, qu’elle était belle ! Cette peau diaphane, blanche comme les neiges éternelles ; cette beauté éthérée, noble et majestueuse ; cette blondeur elfique, comme seule la Norvège savait en offrir… Et puis, ces yeux… ces yeux si profondément bleus qu’il s’y perdait chaque fois qu’il avait le malheur – ou le bonheur sans nom – de s’y aventurer…