Ce sixième tome constitue une excellente conclusion pour une série dont la qualité ne s'est pas démentie au fil des albums, ce qui est suffisamment rare pour être souligné.
En fait, j'avais compris qui était le coupable dans le tome précédent, et j'ai été contente de voir que mon intuition se vérifiait.
Dire que c'est un happy end serait exagéré, mais c'est une très bonne fin qui boucle la boucle.
Le scénario de
Desberg s'avère efficace et bien construit, et il est parfaitement servi par les dessins de Griffo qui sont tout à fait adaptés à l'époque et au style de l'histoire.
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