À la dérive

Malgré quelques moments de flottement dans ma lecture, j'ai passé un agréable moment en compagnie de Léa et Axel. Une lecture sombre dans l'univers particulier de la psychiatrie.
Encore une auteure dont je ne connaissais pas la plume à ajouter à mon palmarès de lecture de cet été. J'ai nommé Jane Devreaux. S'agissant d'une première lecture je n'ai pas de point de comparaison avec ses autres écrits, mais je ressors de cette lecture avec un avis mitigé et un sentiment d'histoire un peu brouillonne. Ce qui m'a le plus dérangé est en rapport avec la chronologie du livre. J'ai souvent eu du mal à m'y retrouver. Alors que parfois plusieurs chapitres concernent une même scène, les suivants font des sauts dans le temps de plusieurs mois. du coup pas facile de suivre. D'ailleurs en refermant ce livre je suis bien incapable de vous dire si l'histoire s'est déroulée sur 2 mois ou 2 ans. Je me suis un peu perdue et du coup mon attention s'est peu à peu effritée au fur et à mesure de ma lecture. En fait j'ai eu l'impression par moments de « louper des épisodes » comme on dit. C'est dommage parce que le contexte et la trame de fond étaient prometteurs. Et mis à part ce souci chronologique, j'ai beaucoup aimé l'histoire d'Axel et Léa.
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