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Critique de patricksavoye


Bien sûr il y a le bien et le mal, les gentils et les méchants, les forts et les faibles, les riches et les pauvres, les courageux et les lâches. Luca di Fulvio nous dresse un catalogue complet du manichéisme, Me-too est au bord de la dépression et moi itou.
Au bout de 450 pages, l'auteur est touché par la grâce et nous fait apparaître Rosetta et Rico comme étant mère Teresa et l'abbé Pierre et de ce coup de plume magique, mon roman devient un Missel.
Mais que le lecteur (ou en passe de l'être )se rassure, Luca redresse vite la barre et évite de sombrer dans le pathos. Ouf ! Mais on en est très proche.
J'ai l'impression de lire une recette de cuisine. Un peu de ceci, un peu de cela, du sel du poivre, beaucoup de piments, bien remuer servir et à consommer sans modération.
Je suis désolé pour tous ceux qui ont fait des commentaires élogieux de ce livre. Mais après tout c'est de votre faute si je l'ai acheté puisque j'ai suivi vos conseils en toute confiance.
Enfin il en faut pour tout l'égout comme on dit dans la voirie.
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