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Critique de Polyrion
N'ayant quasiment aucun souvenir du film Minority Report à part qu'il y a ce bon vieux Tom Cruise dedans, et n'ayant jamais vu Total Recall, c'est donc avec un regard neuf que je me suis lancé dans la lecture de ce livre contenant Minority Report (Rapport minoritaire en français) et We Can Remember it for You Wholesale (Souvenirs à vendre en français, dont a été adapté le film Total Recall avec Arnold Schwarzenegger).
Je vais donc commencer par parler de Minority Report :
Alors que son jeune remplaçant arrive, John A. Anderton, préfet de police à la tête du service Précrime capable de prédire et prévenir les... crimes, est lui-même accusé d'un meurtre qu'il n'a pas encore commis sur une personne qu'il n'a jamais vu.
C'était très bien, j'aime beaucoup l'univers dépeint par Philip K. Dick, même si je regrette un peu l'utilisation de certains personnages (Lisa, seule femme au casting, est un peu dans le cliché de la "traîtresse, mais en fait non, mais en fait si, on sait pas", et Kaplan dans le rôle du militaire voulant retrouver sa gloire passée). À part ça et une ou deux pages que j'ai dû relire à cause d'un charabia scientifique et de la complexité de l'intrigue… j'ai passé un très chouette moment. L'intrigue, justement, m'a tenu en haleine au gré de ses rebondissements, jusqu'à sa fin douce amère.
Bref, je conseille à tous les amateurs de science-fiction, et même si d'habitude ce genre vous rebute, je ne l'ai pas trouvé trop présent car l'important c'est finalement la fuite de John et comment il s'en sort.
Et pour ce qui est de Souvenirs à vendre :
Douglas Quail rêve d'aller sur Mars, sans trop savoir pourquoi. Il mène une petite vie de fonctionnaire sur Terra, et sa femme passe son temps à regretter le côté rêveur de son mari. Sa solution ? Prendre rendez-vous chez MémoiRe, et se faire implanter un souvenir d'un voyage sur Mars. En espérant que ça fonctionne...
C'était plus court que Minority Report, mais j'ai bien aimé aussi ! Ce pauvre Douglas a un rêve qu'il ne pense pas pouvoir accomplir. Mais jouer avec ses souvenirs n'est jamais bon...
Je m'attendais à quelque chose de dramatique avec un peu d'action... et j'ai été surpris que ce soit ni l'un ni l'autre !
Cette histoire a un ton léger, et une fin qui verse dans le comique (enfin, d'après moi, parce qu'elle m'a bien fait rire).
Je ressors de ce livre très heureux de l'avoir eu sur mon chemin, il m'a donné envie de lire plus de science-fiction.
Je vais donc commencer par parler de Minority Report :
Alors que son jeune remplaçant arrive, John A. Anderton, préfet de police à la tête du service Précrime capable de prédire et prévenir les... crimes, est lui-même accusé d'un meurtre qu'il n'a pas encore commis sur une personne qu'il n'a jamais vu.
C'était très bien, j'aime beaucoup l'univers dépeint par Philip K. Dick, même si je regrette un peu l'utilisation de certains personnages (Lisa, seule femme au casting, est un peu dans le cliché de la "traîtresse, mais en fait non, mais en fait si, on sait pas", et Kaplan dans le rôle du militaire voulant retrouver sa gloire passée). À part ça et une ou deux pages que j'ai dû relire à cause d'un charabia scientifique et de la complexité de l'intrigue… j'ai passé un très chouette moment. L'intrigue, justement, m'a tenu en haleine au gré de ses rebondissements, jusqu'à sa fin douce amère.
Bref, je conseille à tous les amateurs de science-fiction, et même si d'habitude ce genre vous rebute, je ne l'ai pas trouvé trop présent car l'important c'est finalement la fuite de John et comment il s'en sort.
Et pour ce qui est de Souvenirs à vendre :
Douglas Quail rêve d'aller sur Mars, sans trop savoir pourquoi. Il mène une petite vie de fonctionnaire sur Terra, et sa femme passe son temps à regretter le côté rêveur de son mari. Sa solution ? Prendre rendez-vous chez MémoiRe, et se faire implanter un souvenir d'un voyage sur Mars. En espérant que ça fonctionne...
C'était plus court que Minority Report, mais j'ai bien aimé aussi ! Ce pauvre Douglas a un rêve qu'il ne pense pas pouvoir accomplir. Mais jouer avec ses souvenirs n'est jamais bon...
Je m'attendais à quelque chose de dramatique avec un peu d'action... et j'ai été surpris que ce soit ni l'un ni l'autre !
Cette histoire a un ton léger, et une fin qui verse dans le comique (enfin, d'après moi, parce qu'elle m'a bien fait rire).
Je ressors de ce livre très heureux de l'avoir eu sur mon chemin, il m'a donné envie de lire plus de science-fiction.
