En préambule, je trouve que la poésie est le parent pauvre de la littérature, c'est ce que je ressens, réussir à décrire un sentiment, un état d'esprit en quelques phrases ça tient de la magie.
" Car l'adieu, c'est la nuit" d'
Emily Dickinson à cette magie.
Ce recueil de poème reflète assez bien la tendance du 19ème siècle, la solitude du poète, le " spleen" pour emprunter le mot au grand
Charles Baudelaire.
Les mots d'Emily sont crépusculaires, la mort y est présente comme la tombe, dieu est omniprésent, nous sommes dans cette Nouvelle-Angleterre puritaine et dévote.
Le temps semble s'arrêter à la lecture de ses mots magnifique, j'ai retrouvé cette ambiance dans les écrits de Charlotte et
Emily Brontë .
la poésie a quelque chose d'intemporel.
j'ai aimé les mots d'
Emily Dickinson et j'espère que cette critique attirera d'autres lecteurs qui feront des critiques qui attireront d'autres lecteurs.....
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