J'aime mon art d'un amour frénétique et perverti, comme un ascète le cilice qui lui gratte le ventre... Je me hais et je m'accuse de cette démence d'orgueil... Un quart d'heure après, tout est changé ; le cœur me bat de joie ". Ces tourments et ces joies de la création, Flaubert les cultive passionnément et leur consacre sa vie. Car " le seul moyen de la supporter, c'est de l'éviter. Et on l'évite en vivant dans l'Art ". En effet, de même qu'il transpose le réel en ... >Voir plus