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Hatier [corriger]

Créée en 1880 par Alexandre Hatier, Hatier est une maison d`édition française spécialisée dans les ouvrages scolaires, En 1900, le premier Bescherelle est édité. Hatier est aujourd`hui le troisième éditeur d`éducation en France.

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Dernières critiques
Une vie

Premier roman de Guy de Maupassant et je suis litteralement séduite par sa plume factuelle, tendre, forte et bienveillante.

L'histoire est juste, les personnages attachants et la dimension artistique prend toute sa place au fil des pages, telle une peinture.

Nous traversons le 19ème siècle avec beaucoup de grâce et nous avons qu'une seule hâte... en découvrir d'autres.

Une oeuvre à lire et à relire pour sa beauté.
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L'appel sauvage (ou) L'appel de la forêt

Nous suivons Buck, un chien appartenant au juge Miller et qui, du jour au lendemain, va être enlevé par l'un des employés. Ce dernier, endetté, va vendre Buck auprès d'un trafiquant de chiens de traîneau. Buck va alors subir la cruauté de l'Homme qui ne va pas hésiter à le battre et à le maltraiter pour le soumettre et le contraindre, comme tous les autres chiens qu'il va rencontrer, à traîner des traîneaux, sans relâche. Cependant, Buck est intelligent et s'adapte très rapidement à son nouvel environnement : le froid glacial de l'Alaska et du Canada, le combat contre les autres chiens pour survivre, la ruse et la discrétion pour ne pas subir les punitions de l'Homme. Il va même, au fur et à mesure, se rapprocher de son passé, de ses ancêtres et se défaire de l'emprise de l'Homme. Va-t-il finir par rejoindre la Nature ou va-t-il rester auprès de l'Homme ? 



J'ai adoré avoir le point de vue de Buck et j'ai trouvé que cela rendait le texte d'autant plus percutant, car à travers les yeux de cet animal si innocent, la cruauté, l'égoïsme et la cupidité de l'Homme nous frappe tel un coup de fouet (rappelons le contexte de l'histoire qui se déroule en plein pendant la ruée vers l'or dans le Grand Nord Canadien). Si vous aimez à la folie les chiens comme moi, vous risquez d'avoir le cœur brisé, car l'auteur ne censure rien et nous offre un portrait sanglant. 



Tout comme Buck, nous vieillissons en lisant ce roman. De la légèreté et de l'innocence, nous passons à la méfiance, la peur, la haine, la révolte et la liberté. 
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La Peste

L'Étranger j'ai adoré, La Chute ça a été un coup de foudre. Et du coup j'avais hâte de lire la Peste.

Bah j'ai trouvé ça terriblement chiant et ennuyeux. C'est long, froid, triste, les personnages sont pas attachants, les descriptions sur des futilités s'éternisent, bref.. Je me suis arrêté à la page 202, pas envie de continuer à me forcer sur encore 150 pages.
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