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Critique de djihane
Je dois dire que j'ai été charmée par ce roman dans lequel on sent l'influence de Jane Austen, les préjugés, qui empêchent les personnages de voir l'Autre tel qu'il est, sont au rendez-vous. Mais détrompez-vous, Edenbrook n'est pas un énième pastiche des romans de Jane Austen, l'auteure a son propre style d'écriture, fort agréable à lire.
Ce qui n'est pas dit dans le résumé est que Marianne se retrouve à Bath où réside sa grand-mère suite au décès de sa mère, son père l'a emmenée y vivre pour fuir vers la France. Elle se languit de son ancienne maison à la campagne et je trouve son attente du retour de son père très touchante. Elle est profondément donc marquée par cette tragédie mais cela ne l'empêche pas de sourire à la vie.
Marianne Daventry est tellement pétillante et drôle, je pense que j'ai un faible pour les personnages empotés et Marianne l'est à souhait. Dans sa quête de devenir une demoiselle accomplie, ses frasques feraient fuir n'importe quel gentleman mais pas Philip, le maitre d'Edenbrook, qui semble lui accorder une attention particulière.
Ce que j'ai le plus apprécié, ce sont les multiples rebondissements dans l'histoire, dès les premières pages, notre personnage n'a pas de répit, ses voyage et séjour à Edenbrook lui réservent bien des surprises.
J'ai aussi aimé, l'humour qui est très présent dans le roman, écrit sur un ton léger qui m'a procuré un réel plaisir de lecture. Chaque chapitre me donnait envie de lire le suivant.
Que dire de plus, faites-vous votre propre opinion en le lisant. Julianne Donaldson est une écrivaine à suivre de très près. Elle a un autre roman, Blackmoore qui sortira le 23 janvier chez Milady Roman, j'ai hâte de le lire.
Citation
Extrait du billet doux que Phillip a écrit avec Marianne pour lui apprendre le délicieux art des lettres d'amour.
« Dès que je croise votre regard, je perds toute notion de temps et de ce qui m'entoure. La raison m'abandonne, mes pensées s'embrument et je me perds dans le paradis de vos iris »
Lien : https://www.facebook.com/153..
Ce qui n'est pas dit dans le résumé est que Marianne se retrouve à Bath où réside sa grand-mère suite au décès de sa mère, son père l'a emmenée y vivre pour fuir vers la France. Elle se languit de son ancienne maison à la campagne et je trouve son attente du retour de son père très touchante. Elle est profondément donc marquée par cette tragédie mais cela ne l'empêche pas de sourire à la vie.
Marianne Daventry est tellement pétillante et drôle, je pense que j'ai un faible pour les personnages empotés et Marianne l'est à souhait. Dans sa quête de devenir une demoiselle accomplie, ses frasques feraient fuir n'importe quel gentleman mais pas Philip, le maitre d'Edenbrook, qui semble lui accorder une attention particulière.
Ce que j'ai le plus apprécié, ce sont les multiples rebondissements dans l'histoire, dès les premières pages, notre personnage n'a pas de répit, ses voyage et séjour à Edenbrook lui réservent bien des surprises.
J'ai aussi aimé, l'humour qui est très présent dans le roman, écrit sur un ton léger qui m'a procuré un réel plaisir de lecture. Chaque chapitre me donnait envie de lire le suivant.
Que dire de plus, faites-vous votre propre opinion en le lisant. Julianne Donaldson est une écrivaine à suivre de très près. Elle a un autre roman, Blackmoore qui sortira le 23 janvier chez Milady Roman, j'ai hâte de le lire.
Citation
Extrait du billet doux que Phillip a écrit avec Marianne pour lui apprendre le délicieux art des lettres d'amour.
« Dès que je croise votre regard, je perds toute notion de temps et de ce qui m'entoure. La raison m'abandonne, mes pensées s'embrument et je me perds dans le paradis de vos iris »
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