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Citations sur L'enfant du train (33)

- On joue aux billes ? demande Zack à la récré.
...
- Pour aujourd'hui, tu peux prendre les miennes, dit-il en m'en donnant trois.
Ce sont les transparentes avec des couleurs qui se déploient comme une plume d'oiseau à l'intérieur. J'en étudie une : elle n'est pas tout bêtement bleue, mais de deux nuances différentes, exactement comme ma préférée à la maison. Je la serre de toutes mes forces dans mon poing, le ventre tordu par la nostalgie.
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Jean-Luc est tombé en amour avec ce petit bébé, tout comme je suis tombée amoureuse de lui.
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Et si les meilleures décisions étaient celles qu'on prend avec le coeur?
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Jean-Luc jauge l’individu d’un coup d’œil : costume bleu marine, chemise blanche, cravate passe-partout, regard arrogant. En temps ordinaire, il ne relève pas lorsqu’on écorche son nom de famille, mais ce matin, il se sent piqué dans son orgueil. Peut-être à cause de l’aplomb de cet homme qui vient sonner chez lui de si bonne heure. — Ça se prononce Beauchamps, rectifie-t-il. C’est français. Le regard de l’homme-pélican se durcit presque imperceptiblement et il avance le pied dans l’embrasure de la porte. — Oui, on sait que c’est français, mais ici, on est en Amérique.
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Donnez un peu de pouvoir à un faible et il en abusera. Les gendarmes en étaient un exemple parfait. Jean-Luc avait vu Charlotte s'éloigner avec soulagement, mais désormais, il était seul face à eux. Ils n'avaient aucun motif pour l'arrêter, mais Jean-Lus savait qu'ils ne manqueraient pas d'exercer leur peu d'autorité à son encontre.
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Pourquoi ne nous laisse t-on pas tranquilles ? Comment peut-on bâtir un avenir de paix en s'obstinant à remuer le passé ?
L'idée que Sam puisse être malheureux me serre la gorge. Pour un parent, il est plus pénible de voir son enfant souffrir que de souffrir soi-même. Je ferais n'importe quoi pour protéger Sam. N'importe quoi.
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Jean-Luc arriva au niveau de Notre-Dame, sur l’île de la Cité. Elle brillait dans l’obscurité, intemporelle, indifférente à la guerre.
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Jean-Luc en rajoute dans l’étonnement, mais sa voix sonne faux à ses propres oreilles – une octave trop haut. Les bruits assourdis du petit déjeuner lui parviennent de la cuisine : les assiettes qu’on empile, le rire léger de son petit garçon. Ces bruits familiers résonnent autour de lui tel un rêve lointain. Il ferme les yeux, s’agrippant avec la force du désespoir à une réalité qui lui échappe. Le cri perçant d’une mouette le ramène au présent. Son cœur cogne vite et fort dans sa poitrine, comme un oiseau affolé contre une vitre.
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Que mon amour pour lui est plus vaste que l’océan, qu’il ne se tarira jamais.
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Tu n'es pas la chair de ma chair
Tu n'es pas le sang de mon sang
Et pourtant, miracle,
Tu es mien
N'oublie jamais.
Ne serait-ce qu'une seconde
Que tu n'as pas grandi sous mon coeur
Mais en lui !
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