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Critique de MademoiselleMaeve
J'ai découvert Marc Dubuisson sur les réseaux sociaux. Ses dessins, soulignant l'absurdité de notre société me font rire, au pire seulement sourire, mais le plus souvent rire. J'avais donc bien hâte de lire sa toute nouvelle bande dessinée A peu presque.
L'auteur-illustrateur belge publie des strips toutes les semaines dans Les Échos et sur le site d'informations belge 7sur7.be et on retrouve ses petits bonshommes bâton sur son compte Instagram @unpied (ce nom lui permet d'être LA référence lorsque l'on dit de quelqu'un qu'il dessine comme un pied – et moi, ça me fait rire). Il est également l'auteur de plusieurs albums, dont la série Ab absurdo.
Dans A peu presque, on croise Galilée, Christophe Colomb, des Vikings, des hommes préhistoriques, on se balade à la cour de Louis XVI, on médite avec des moines bouddhistes et surtout on rit – et franchement, ça fait un bien fou. Ce que j'adore dans ses strips, c'est l'humour décalé et absurde, totalement anachronique et parfois irrévérencieux.
Alors cela passe par le burn-out des esclaves qui construisent les pyramides d'Egypte, le tri sélectif chez les chevaliers, les influenceuses mode et beauté au XVIIIe siècle… Et c'est drôle, vraiment drôle. Parfait en ces temps moroses.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
L'auteur-illustrateur belge publie des strips toutes les semaines dans Les Échos et sur le site d'informations belge 7sur7.be et on retrouve ses petits bonshommes bâton sur son compte Instagram @unpied (ce nom lui permet d'être LA référence lorsque l'on dit de quelqu'un qu'il dessine comme un pied – et moi, ça me fait rire). Il est également l'auteur de plusieurs albums, dont la série Ab absurdo.
Dans A peu presque, on croise Galilée, Christophe Colomb, des Vikings, des hommes préhistoriques, on se balade à la cour de Louis XVI, on médite avec des moines bouddhistes et surtout on rit – et franchement, ça fait un bien fou. Ce que j'adore dans ses strips, c'est l'humour décalé et absurde, totalement anachronique et parfois irrévérencieux.
Alors cela passe par le burn-out des esclaves qui construisent les pyramides d'Egypte, le tri sélectif chez les chevaliers, les influenceuses mode et beauté au XVIIIe siècle… Et c'est drôle, vraiment drôle. Parfait en ces temps moroses.
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