Parce que je suis cette historienne depuis ses débuts (évidemment, me connaissant, l'Histoire, toujours) et que j'aime son écriture, sa vision et que la couverture et le titre ont été le plus jolie sourire du mois lorsque j'ai ramené ce livre à la maison !, même si les propos ne sont pas si roses que cela, et que cette Eniad connaît bien des périples (la loi d'Eniad est à tout malheur, malheur continue), la sensibilité de
Diane Ducret est là ; son roman n'est pas aussi léger qu'une plume de flamand rose (je suppose) mais donne du rose au coeur.
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