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3,29

sur 343 notes
Comme l'écrivait mon amie Annette, c'est un roman que l'on adore ou que l'on déteste. Je ne peux pas vraiment dire que j'ai détesté ce roman. Je ne l'ai tout simplement pas cerné.

Une jeune fille va vivre toutes sortes d'aventures, souvent malheureuses, le tout entrecoupé de pensées à la fois drôles et légères et d'autres fois plutôt interpellantes. le tout m'a semblé trop décousu, trop de tout et rien à la fois partant dans tous les sens. Plusieurs fois je me suis dit au début du prochain chapitre, cette fois ça va prendre, je vais attraper le fil. Et non. Donc si au bout de plus de la moitié, je ne suis rien et ne suis pas happée dans l'histoire, j'abandonne car j'avais vraiment l'impression de perdre mon temps. Et le temps c'est précieux.
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Depuis la naissance Enaid claudique, brinqueballée de-ci de-là comme un objet un peu encombrant.

Depuis la naissance, Enaid n'a pas vraiment de chance, elle attire mêmes les petites fatalités.

Diane Ducret nous livre un récit doux amer qui m'a picoté, m'a émoustillé et m'a même fait vaciller.

Moi qui pensait être plutôt droit dans mes bottes en débutant la lecture de cet ouvrage, je me suis retrouvé à finir ma lecture à cloche pied.

Bilan : j'ai adoré.

L'Amérique d'Enaid m'a fait sourire de bon coeur. Sa vision de sa vie cabossée et de sa petite personne m'ont souvent ému. Lorsque l'existence ne vous a pas offert les meilleures cartes et qu'il faut avancer malgré tout …

Un magnifique portrait de femme.

Bouleversant. Détonnant. Etonnant.

Je n'avais jamais lu Diane Ducret. Erreur fatale.

Je vais me faire un plaisir de découvrir d'autres romans de cette auteure qui mêle avec brio second degré et ironie, en croquant un personnage plus vrai que nature.

Je ne regarderais plus les flamands roses de la même façon et je leur porte dorénavant une tendresse toute particulière.

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Bluffée par le titre et la couverture de ce livre, ne connaissant pas l'auteure, je pensais à un de ces romans à la mode ces derniers temps, qui font du bien, certes, mais sans ces émotions que je peux ressentir dans d'autres ouvrages. Je me trompais.

Enaid a besoin de prendre de l'élan et du courage pour nous raconter son histoire.

Elle commence par le présent, se trouve en Pologne pour des raisons professionnelles, dans un taxi, et son compagnon l'appelle pour rompre. Malgré sa stupeur et son futur chagrin, Enaid, le double de l'ombre ou la moitié de Diane, comme vous voudrez, nous fait rire, noie le poisson avec des scènes cocasses.

Enaid nous laisse le temps de prendre notre respiration pour le reste de son récit car vous ne reprendrez votre souffle qu'à la fin. La descente est rude, nous plongeons dans son enfance.

Élevée par ses grands-parents paternels, cette petite fille grandit avec ses peurs, ses failles, ses questions auxquelles personne ne peut répondre. Elle ne doit pas devenir comme sa mère, André et Yvette y veillent. Enaid grandit dans l'amour mais incomplet et le sentiment d'insécurité de ses grands-parents devient le sien. de mauvais choix des adultes en mauvais ressenti de cette fillette font que l'adolescence est violente et destructrice au possible.

Cette révoltée retrouve la raison, malgré son esprit de contradiction (en même temps personne ne lui a donné les clés pour son chemin de vie) s'inscrit dans un lycée de prestige à Paris et ne trouve rien de mieux que de tomber amoureuse d'un bipolaire pervers narcissique. Enaid toujours en avance sur son temps le dit bien : avant on disait maniaco-dépressif et connard égoïste. Elle s'en sortira avec des terreurs insurmontables.

Enaid a eu un accident d'équitation, pendant son enfance, et mal opérée, sa jambe l'a fait à nouveau souffrir et je crois volontiers que ce handicap va lui sauver la vie.

À peine vingt ans, un handicap qu'elle ne veut pas reconnaître, l'impression de porter le poids du monde sur ses épaules, en manque d'amour, elle continue vaille que vaille son chemin, destin qu'elle malmène malgré elle, lancée à toute allure et se débattant contre tout.

La maladie et la mort de son grand-père sonnent comme un avertissement. Les retrouvailles avec sa mère dans un centre de soins palliatifs lui font comprendre qu'elle ne peut continuer à se battre contre l'impossible. Enaid doit s'approprier sa propre vie, pas celles de ses proches, pas celles des autres.

C'est un récit émouvant, une histoire d'amour et de force et peut-être la force de l'amour.

Et que vient faire le flamant rose dans cette histoire ? Diane vous le dira.

Un grand merci à masse critique de Babelio et aux Éditions Flammarion pour cette émouvante découverte
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Diane Ducret convertie en son anagramme Enaid nous conte ici son autobiographie.
Sous des dehors caustiques et avec un humour à peine voilé, elle nous livre les tragédies de sa vie et le courage qu'il lui a fallu pour les surmonter.

Enfant retirée de la garde de sa mère (danseuse de cabaret), elle est confiée à une famille d'accueil dont elle apprendra quelques années plus tard qu'elle constitue en fait ses grands-parents. le père est rarement visible et Enaid, malgré la sollicitude de ses grands-parents ne se sent pas aimée et ne s'aime pas. Elle cumule les déboires aussi bien physiques (fracture de la cheville mal opérée) que psychiques : elle se fait larguer par un coup de fil par son ami alors qu'elle se trouve en Pologne pour son boulot ; femme battue en Italie, elle verse dans la drogue, se trouve sujette à une attaque de l'ETA, tombe enceinte à 16 ans, subit un avortement, bref elle attire immanquablement la poisse et ce depuis sa naissance où comme elle le dit si bien "les fées se sont penchées sur son berceau mais elles devaient être bourrées" !

Elle est ou ne se sent pas comme les autres, il lui manque toujours quelqu'un ou quelque chose et même si elle prétend ne pas aimer sa mère (qu'elle n'a plus vue depuis près de trente ans), les retrouvailles finiront par avoir lieu dans des conditions très spéciales où Enaid découvrira bien des choses qu'elle ignorait jusque là.

Un livre qui nous entreprend d'une réflexion bien plus puissante que celle à laquelle on songe au début au fil de chaque embûche. Enaid se pose de plus en plus de questions mais finit par triompher et se renforcer, un livre où m'est venue spontanément à l'esprit la célèbre phrase de Nietzsche "tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" et c'est ma foi bien vrai !
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Je connaissais Diane-Ducret comme essayiste, et j'avais lu avec plaisir et passion," Femmes-de-dictateurs " chez Perrin en 2011. Lorsque j'ai aperçu cette belle jeune femme contestée lors d'une émission par un écrivain dont je tairai le nom, j'ai décidé d'acheter son livre...
Que dire de cet ouvrage?
Honnêtement , tout au début, on pense lire un ouvrage facile. En réalité Sous l'anagramme de Enaid, la romancière donne à voir son autobiographie romancée !
Elle nous livre son histoire sans misérabilisme même si des éléments burlesques la parsèment .
Elle grandit seule, loin de sa mére, adoptée par ses grands- parents :Yvette et André, son pére se tient trés loin, d'une indifférence quasi totale ....
Les chapitres sont courts, aérés, faciles à lire, les lieux et les villes différents, l'humour décapant ,
la sensation pour Enaid d'être constamment là où il ne faudrait pas, à contre temps.
Les fées qui se sont penchées sur son berceau étaient bien mal intentionnées et se sont nécessairement trompées !
L'auteur est persuadée de ne pas avoir été aimée , elle éprouve un manque constant : "J'ai comme un trou dans la tête ."
Sur un ton humoristique , presque détaché, alternant gravité et émotion ,elle fera face petit à petit à tous les défis , se construisant par sa seule force, décidée à apprendre à se relever ....
Elle évoque les péripéties de sa vie avec sincérité et naturel, les obstacles, l'évolution de sa jeune existence, le handicap, la maladie, l'abandon et le manque, les addictions, les violences conjugales , les relations mère - fille, le pardon.....
C'est un récit surprenant au parcours chaotique , peu à peu les secrets se lèvent et l'auteur se met à nu.
La fin est trés belle, abordée d'une maniére digne, douce, profonde et sereine , une sorte de résilience ....Vous saurez pourquoi en le lisant ....
Je ne vais pas en dire plus......
Une belle façon de montrer que l'on peut avoir le courage de rester soi, une réflexion aussi sur la notion de couple.
Comment peut- on réussir à aimer et à être aimé ?
Le lecteur reçoit une claque en pleine figure contrairement au roman léger que l'on pensait lire , l'écriture est nerveuse, pétrie de comparaisons métaphoriques étonnantes et attachantes ..
Je ne sais pas si je dois remercier cet écrivain insolent qui m'a incitée à acheter ce livre qui procure de fortes émotions .
Il peut ne pas plaire à tout le monde !!
Pas facile d'écrire une critique sans en dire trop .
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Diane Ducret nous fait la narration à la première personne de sa vie depuis sa naissance jusqu'à l'âge de 30 ans, elle se camoufle un peu sous l'anagramme de son prénom"Enaid".
Une vie romancée, bien sûr mais pas embellie j'imagine car elle en passe des épreuves.
Petite, elle naît de deux parents complètement irresponsables.
Toute fillette, elle est confiée à ses grands-parents paternels qu'elle prend pour ses parents adoptifs.
Sa grand-mère est tellement effrayée par le fait qu'elle pourrait avoir pris les défauts de sa mère qu'elle en oublie de lui témoigner de l'affection.
Par contre, des soins pour son éducation et sa santé, elle en recevra.
Atteinte d'une claudication suite à un accident, elle sera opérée et son état fait penser de suite au flamant rose de la couverture.
Lorsqu'elle revoit sa mère, à l'article de la mort, elle nous livre une histoire d'un oeuf de flamant rose, perdu, éclos, qui finit par prendre son envol : une très belle histoire qui ressemble très fort à celle d'Enaid qui peinait aussi à prendre son envol parce qu'elle se sentait mal aimée.
Très belle histoire parsemée de bonnes et de mauvaises rencontres et qui donnera au final une auteure connue pour ses romans à succès.
J'ai aimé la narration, un peu moins le style d'écriture.

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Attention, si vous ouvrez ce livre, vous allez rire, pleurer, aimer, détester… l'avoir déjà fini ! Voilà ! Vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas prévenu. Moi, je ne l'étais pas. Je me suis fiée aux couleurs pastel de la couverture, à ce flamant rose-bonbon, si sûr de lui, juché sur une seule pâte. Je ne m'attendais pas à cela : un récit fort, drôle, bouleversant et de surcroît : véridique…

Enaid-Diane Ducret nous livre son histoire, celle d'une enfant qui grandira loin de sa mère, sera élevée par ses grands-parents, dans l'indifférence totale d'un père et qui devra apprendre à vivre et se construire avec cette réalité affective-là ! Ce n'est pas la première, vous me direz, et sûrement pas la dernière et cela n'empêche pas toujours de grandir ! Pas toujours. Mais parfois si… Pour peu que la loi de Murphy s'en mêle et que l'on se retrouve prise au piège d'un engrenage infernal : violence, descente aux enfers, blessures physiques et morales indélébiles, …

"Je ne sais pas comment ils vivent, ceux qui n'ont pas songé à mourir au moins une fois, ceux qui n'ont pas pleuré jusqu'à leur bile, ceux qui sont tout de suite heureux."

Je voyais Diane Ducret comme une belle femme à qui tout réussit, me demandant quelle bonne fée s'était penchée sur son berceau, jusqu'à ce que je découvre Enaid… À lire, on peut se dire que cela fait beaucoup pour une seule femme, mais je me suis surtout dit « quel talent ! » Elle a su mettre de la distance entre son personnage et elle : on en oublie Diane face à Enaid. Il n'y a aucune lourdeur, aucun artifice et on reste bluffer devant cette progression qui va crescendo et vous fait passer du rire aux larmes en moins de temps qu'il vous faut pour tourner la page, jusqu'à cette fin si belle…

Cela va paraître contradictoire, mais ce livre qui m'a pris aux tripes et fait rouler les larmes sur les joues, m'a donné une formidable envie de vivre, d'être heureuse et de prendre les gens que j'aime dans mes bras. Sans attendre que ce soit la dernière fois…

"Ce que tu as vu là… ce n'est pas la vraie vie. C'est une partie de la vie seulement. Les paillettes, Ça ne brille pas… ça ne fait que refléter la lumière produite par d'autres."

Et elle sera belle la lumière d'Enaid ! Même s'il en faudra du temps et des embûches, pour que Diane la laisse enfin s'échapper, la plume glissant sur le papier…

"J'écris pour me raconter les histoires que tu ne m'as jamais dites, c'est la seule manière que j'ai trouvée de ne pas être seule. Je raconte les aventures de filles de mauvaise vie, en espérant guérir en moi le vide que tu as laissé".

Encore une belle découverte que je dois aux éditions Flammarion et aux masses critiques de Babelio.
Lien : https://page39web.wordpress...
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Enaid, une écrivaine trentenaire, vit une rupture amoureuse alors qu'elle se trouve en pleine promotion pour la sortie de son livre à Gdarsk en Pologne.
Après avoir décrit cette rupture et son sentiment d'abandon, elle fait un bond dans le temps et revient sur sa jeunesse. Enaid parle de ce ressenti qu'elle éprouve depuis toujours, celui de n'avoir jamais été aimée. Avec une mère danseuse de cabaret, déchue de l'autorité parentale, un père absent, démissionnaire, des grands-parents adoptifs, sa vie bascule à l'âge de trois ans. En passant par Paris et Biarritz, en traversant l'Espagne, l'Italie et l'Egypte, Enaid parle des drames de son existence, de ses blessures et de sa reconstruction.
"On peut se laisser choir ou faire le saut de l'ange. Etre boiteux ou devenir un flamant rose. Sur ses jambes fragiles, tenir en équilibre avec grâce par le pouvoir de l'esprit."
Dans cette histoire que l'on devine autobiographique, Diane Ducret, dont le prénom écrit à l'envers forme celui de son héroïne Enaid, retrace des moments douloureux de son existence et des fêlures qui l'ont finalement construites.
Enaid a été élevée par des grands-parents bienveillants grâce auxquels elle a toujours su garder le cap. Yvette, sa grand-mère, pieuse et soucieuse de son éducation, surveillait assidûment ses fréquentations. Celle-ci a vécu la période de la puberté de manière catastrophique. Enaid a grandi trop vite, elle est devenu coquette, son corps s'est transformé et il fallait absolument éviter tout contact avec les garçons. Il a fallu lui trouver des activités qui l'accaparaient durant tout son temps libre et c'est ainsi qu'elle a pratiqué la danse classique, le piano puis l'équitation. Une blessure non soignée suite à une chute à cheval lui a fissuré la cheville, depuis elle boîte. Après les bêtises de l'adolescence, les mauvaises rencontres, un parcours semé d'embûches, Enaid s'est toujours relevée même sur une seule patte, comme le flamant rose, la tête haute.
Le récit est raconté avec sensibilité et humour selon les situations et les événements dramatiques qui l'ont marquée. Diane Ducret évoque l'abandon, l'adoption mais aussi l'homosexualité, la maladie, les violences conjugales et le handicap avec des comparaisons métaphoriques étonnantes faisant toute la force de ce roman.
Les thèmes sont forts, les événement sont tristes mais la plume de l'auteure en fait une lecture absolument magnifique. le ton léger et l'écriture incisive tellement belle ont provoqué chez moi beaucoup d'émotions.
Ce roman est mon deuxième coup de coeur de l'année. Je remercie sincèrement les Éditions Flammarion et Babelio pour cette decouverte.
Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Diane Ducret fait partie de ces femmes, qui lorsqu'elles arrivent sur un plateau de télévision ou devant un micro de radio, irradient le studio de leur charme, de leur humour et de leur répartie. Je voulais depuis longtemps me rendre compte si ses écrits étaient du même acabit.

Avec sa couverture aux couleurs flashy et son titre saugrenu, on pourrait s'attendre à entrer dans une comédie romantique ou dans un roman feel-good, avec de bons sentiments. Avant de commencer, je ne vous cache pas que j'étais un peu inquiet, moi qui ne suis pas un grand adepte de ce genre de lecture. le début du texte va dans ce sens en entrant dans le quotidien d'Enaid, jeune femme plutôt malchanceuse, qui cumule les mésaventures. La lecture est assez agréable et l'humour de l'auteure apporte sa dose de frivolité. L'atmosphère est relâchée et on en vient presque à sourire devant l'accumulation de ses déboires, dictés par la loi de Murphy.

Mais au fil du texte, le ton devient plus grave. Lorsque l'aventure commence à toucher à la famille et au handicap, les enjeux ne sont plus du tout les mêmes. Dans cette deuxième partie, on change de registre, pour tomber dans l'émotionnel. le personnage nous ouvre les portes sur ses fêlures. Elle se dévoile plus et la sincérité de son propos dégage une humanité et une sincérité qui m'ont pris au coeur.

En public, l'auteure apparaît toujours détendue et sûre d'elle. En sachant qu'une grande partie de ce livre est autobiographique, mon regard sur elle a changé et je suis encore plus touché par son histoire. J'ai reposé le livre, encore sous l'effet de l'émotion. Il m'a permis de relativiser mes maux. Sous couvert de légèreté, Diane Ducret a engendré un conte moderne émouvant, qui nous prouve que malgré les accidents de la vie, il faut s'accepter pour continuer d'avancer. Triste et en même temps plein d'espoir !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Une vraie déception pour moi avec cette lecture et pourtant au début j'ai beaucoup aimé le personnage d'Enaid et puis j'ai très rapidement trouvé le récit décousu.

On passe d'une époque à une autre sans forcément de lien, pareil pour les lieux, j'ai été complétement perdu par ma lecture, me demandant s'il s'agissait d'une fiction, d'une autobiographie etc....

Je n'ai du coup pas du tout ressenti d'émotion durant celle-ci et j'ai même trouvé ce récit extrêmement long, dommage cette couverture et ce quatrième de couverture paraissait extrêmement prometteur.
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