Citations sur Les confessions sans pénitence suivi de trois autres en.. (1)
A lire "Les confessions" on réprime avec peine un sentiment de dépit et parfois même d'horreur. Jean-Jacques parle de Voltaire, de Rameau, de Grimm, de Diderot, en termes si désobligeants, si défiants, si rancuniers que nous sommes, sans examen, tentés de lui donner tort.
Mais si nous ouvrons les livres des contemporains de Jean- Jacques, nous sommes presque aussitôt tentés d'absoudre le mélancolique et même de lui donner raison.
Il n'est reproche, injure, imputation grave que les adversaires de Rousseau ne lui jettent à la figure.