J'ai failli parfois l'abandonner durant la première moitié à cause de la religion (passion de la mère) et du baseball (passion du père) qui remplissent des pages et des pages, difficile pour les non américains dont c'est le sport favori. Six enfants, dont certains sont subjugués par les entraînements du père. Enfin, quand ils grandissent, le roman devient intéressant, de par leurs parcours différents, d'autant que nous sommes en période de guerre du Vietnam. le point fort est l'amour et la solidarité familiale.
Une chose me tourmente : ma lecture précédente est
4321 de
Paul Auster, publié en 2017 aux USA. Celui de Duncan en 1992. On y trouve énormément de choses communes. C'est vrai qu'il y est question du même pays et de la même époque.
Merci à masse critique pour ce roman plein de tendresse, d'humour et d'humanité.
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