Du calme. Ne pas m’horripiler. Continuer à coudre quand il y a un nœud. Chaque chapitre doit être capté, pris au piège des mots, enserré peu à peu. Tout est une question de patience et de ruse amoureuse. Ne plus patauger dans ces flaques d’eau de femme où se dilue ma liqueur d’homme.