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Critique de Gwen21
Ce roman explore le très beau parcours de Catherine, une femme passionnée par sa vocation, la médecine, à la fin d'un XIXème siècle encore très hostile aux "femmes savantes".
Bien que le personnage central soit fictif, il offre un beau témoignage de la lutte pour l'émancipation et l'égalité des droits d'un sexe pas aussi faible que les hommes voulaient bien le croire pour se sentir plus libres dans leurs actes.
Cette oeuvre romanesque, qui fait suite au très beau roman "Maria Vandamme" (la mère de Catherine) qui décrit les conditions de vie des ouvriers dans les mines du Nord, est un petit régal de lecture.
En 1993, l'auteur, Jacques Duquesne, s'est associé au réalisateur Jacques Ertaud et a créé une adaptation fidèle de son roman pour le petit écran, particulièrement bien servie par Florence Thomassin dans le premier rôle.
Bien que le personnage central soit fictif, il offre un beau témoignage de la lutte pour l'émancipation et l'égalité des droits d'un sexe pas aussi faible que les hommes voulaient bien le croire pour se sentir plus libres dans leurs actes.
Cette oeuvre romanesque, qui fait suite au très beau roman "Maria Vandamme" (la mère de Catherine) qui décrit les conditions de vie des ouvriers dans les mines du Nord, est un petit régal de lecture.
En 1993, l'auteur, Jacques Duquesne, s'est associé au réalisateur Jacques Ertaud et a créé une adaptation fidèle de son roman pour le petit écran, particulièrement bien servie par Florence Thomassin dans le premier rôle.
