Toujours cette langue étrange, disjonctée, initiatrice d'une atmosphère faite de langueur et de sensualité : l'écriture subtile de
Marguerite Duras.
Toujours
l'amour,
l'amour difficile, cru et à la fois fantasque de galanterie, amour impossible mais si profondément vécu et ressenti.
Toujours cette chair si palpable alors que les corps ne font que s'effleurer.
Du
Marguerite Duras en plein, à ne pas s'y tromper. Cela me séduit-il autant que lorsque j'avais vingt ans ? Assurément.
Commenter  J’apprécie         240