Les Meurtres zen, tome 1 : Des meurtres qui font du bien

Un polar très noir, et amoral, ce qui pourrait être une qualité, sauf que pour moi, il lui manque le petit plus pour en faire un vrai bon livre.
Nous avons une narration à la première personne, avec un avocat qui défend des mafieux, tueurs etc.. ce qui lui coûte son couple, car sa femme Katherina, même s'ils vivent dans l'aisance financière, ne supporte plus le côté larbin de son mari Bjorn, qu'il fréquente des gens infréquentables, qu'il soit sans cesse demandé et qu'il n'ait pas le temps de s'occuper de leur petite fille Emily. C'est pour cette dernière que finalement, Bjorn va décider de faire un stage de pleine conscience. En effet, apprendre à vivre l'instant présent et non pas à anticiper des choses et donc de tout rater. Cela est effectivement, le côté sympa, les chapitres qui reprennent des phrases de développement personnel que notre héros va mettre en pratique, en se débarrassant déjà de son patron, Dragan, puis de tout ce qui peut nuire au fait qu'il s'occupe tranquillement de sa fille. Vont s'enchainer des meurtres, des poursuites avec un Bjorn très froid, très concentré sur la pleine conscience de ses actes, s'aménageant des « ilots temporels » tout en trucidant allégrement.
Donc l'action ne cesse pas, l'idée est bonne mais ce personnage est vraiment tout sauf sympathique, même s'il fait tout cela pour être un bon père (le week-end idyllique avec sa fille avec un cadavre pourrissant dans le coffre). Evidemment, c'est totalement amoral. A priori de très bonnes critiques pour ce roman policier avec un critique qui parle de « désopilant », j'ai du manqué un truc. Donc du divertissement un peu longuet avec un bon départ.

Dans ma liste "Les livres qui vous ont fait rire ou sourire"

On dira que celui-ci m'a fait sourire. Il fallait oser transformer un avocat stressé en tueur détendu grâce la pleine conscience. Lecture plaisante qui m'a bien détendue moi aussi. Comme quoi, la pleine conscience, ça marche!
Le roman (ni polar, ni vraiment thriller) est plutôt une farce dans laquelle on se laisse entraîner avec plaisir. Je ne vais pas spoiler l'histoire. Mais je ne suis pas sûre de lire le tome suivant. Je vais attendre sagement que Netflix en fasse une série. Et justement, en attendant, je vais appliquer les principes de la pleine conscience. Ça a l'air pas mal!!!

J'ai été totalement conquise dès les premières lignes.
Un style pince sans rire sous fond de mafia, de guerre de gang et de l'épineuse articulation entre vie professionnelle la vie familiale.
L'histoire est bien rythmée : il n'y a aucune longueur aucun temps mort nous avons même droit à des petites leçons de pleine conscience.
C'est léger, drôle: impossible de ne pas avoir envie de dévorer les deux autres tômes!

Bjorn est avocat. Très pris par son travail, il est peu présent pour sa famille. Excédée, son épouse l'envoie consulter un coach qui l'initie à la pleine conscience. C'est une révélation pour Bjorn, qui découvre, et met en pratique, de nombreuses techniques de relaxation et de lâcher prise, parmi lesquelles les îlots de temps. Ce sont des plages de temps rien que pour soi et pour ce qu'on décide d'en faire. Pour son premier ilôt de temps, Bjorn décide d'emmener sa fille en week-end au bord d'un lac. Et gare à celui qui tentera de saboter ce moment privilégié entre un père et sa fille ! le client de Bjorn, un mafieux aussi bête que méchant, l'apprendra à ses dépens...

Un peu polar, un peu feel good, "Des meurtres qui font du bien" est un roman très sympathique. Bjorn prend les préceptes de pleine conscience au pied de la lettre, avec pas mal de mauvaise foi. C'est drôle, rythmé, et on peut tout à fait mettre en pratique les principes évoqués dans le livre. Une belle découverte.

Comment se débarrasser de tous ses problèmes en 37 leçons.
Björn Diemel est avocat. Il a 42 ans, est marié et a une petite fille, Emily qu'il adore mais qu'il ne voit presque jamais. Car Björn travaille 24h/24 ou presque… Dans le cabinet prestigieux qui l'emploie, il n'a qu'un seul client : Dragan Sergowicz, un mafieux imprévisible et très violent… mais qui rapporte gros au cabinet. Björn est donc stressé, très. Et son épouse en a plus qu'assez de ne le voir qu 'épisodiquement et toujours d'une humeur de chien. Aussi, pour tenter de sauver son mariage, Björn accepte –contraint et forcé- de rencontrer un coach de vie, spécialisé en pleine conscience. Très sceptique au début, Björn va peu à peu prendre la mesure des leçons de son coach (et les prendre au premier degré !) et les effets positifs ne se font pas attendre. Evidemment, pour retrouver la sérénité et pour enfin profiter de la vie, certains sacrifices sont nécessaires… voire indispensables.
Je me suis beaucoup amusée en compagnie de Björn et de ses acolytes ! C'est évidemment très décalé, égratignant au passage le « développement personnel » qui fait fureur aujourd'hui (et que j'exècre !) et les bobos bio et zen qui semblent aussi nombreux en Allemagne qu'en France ! C'est drôle, noir, assez sanglant toutefois (âmes sensibles attention, certaines scènes sont plutôt gores)… Björn n'a pas de scrupules, il est froid et semble dénué d'humanité (sauf avec sa fille) : il a encore du travail à faire sur lui-même ! ça tombe bien, il y a deux autres tomes où il sera aisé de vérifier si la quantité de stress évacué par Björn est proportionnelle au nombre de cadavres qu'il a semé…
Jubilatoire.

Quelle bonne découverte !
N'étant pas une grande fan de développement personnel, j'ai bien ri sur l'utilisation qu'en fait le personnage de ce roman.
Le ton est léger, très cynique, parfait pour nous raconter cette histoire bien insolite.
Hâte de continuer cette aventure complètement décalée.

Le titre m'interpellait depuis un moment! J'ai été complètement séduite! Je vous conseille de ne pas le laisser passer!

Pour le prix d' un roman, vous aurez un thriller et un manuel de développement personnel!
Karsten Dusse nous entraîne dans une aventure désopilante et méchante: Chaque chapitre débute par un conseil de développement en pleine conscience et ses applications en matière de crime. Tout prête à sourire mais ne croyez pas que le roman est mièvre.
Drôle et féroce, J'ai hâte de suivre Björn Diemel dans de nouvelles aventures.

C'est ça l'humour allemand ? J'espérais passer quelques heures agréables pour mon nerf zygomatique, mais l'humour ici est servi à trop grandes louches !
Pourtant l'idée de départ était intéressante : un journaliste spécialisé dans la défense de grands truands sent le burn-out arriver et décide de consulter un psy. Celui-ci le convertit à sa théorie de la « pleine conscience » : un précepte bien précis à respecter dans chaque difficulté de la vie. Et notre avocat réussit ainsi à devenir parfaitement zen en toutes circonstances…pour le plus grand malheur de ses clients et aussi de leurs ennemis.
Mais voilà : je me suis vite lassé de la consultation permanente de cette « pleine conscience » quand l'avocat voit surgir un problème. Et l'histoire des deux gangs rivaux est assez confuse sans être drôle.
Si j'étais méchant, je dirais que l'auteur a voulu nous laisser un message : n'écoutez jamais les psy !

La méditation de pleine conscience.... un beau programme pour mieux vivre sa vie, profiter de l'instant présent ou justifier l'injustifiable? Chacun son interprétation....
Un avocat de la mafia reprend grâce à la méditation de pleine conscience, enfin sa vie en main. Décalage sympathique entre l'enseignement, et ce que l'on en retient.

La pleine conscience poussée à son extrême!
Björn est un avocat dont le seul mandataire est un mafieux ultra-violent, ce que sa femme ne supporte plus. Elle le pousse alors à des séance de coaching en pleine conscience afin qu'il mette de l'ordre dans sa vie sous peine de ne plus voir sa fille. Et si le bien-être qu'il s'efforce de construire durablement est menacé par son client, comment la pleine conscience va-t-elle l'aider? d'une façon simple mais radicale: en éliminant le problème! Sanglant, immoral et drôle, un cocktail à priori parfait. J'ai toutefois eu beaucoup de mal à m'attacher au personnage, sa pleine conscience se transformant un peu trop à mon goût en absence de conscience. Je pense être passée à côté de ce livre, dommage, il me tentait vraiment beaucoup.