Ou
Jean Echenoz cherche-t-il à nous emmener avec ses "Grandes blondes"? Que veut-il nous dire ?
J'avoue rester sans réponse, ai-je même pensé y réfléchir ?
Pas vraiment ! je lis et je m'amuse.
Je pense à
Raymond Queneau et à
Marcel Aymé.
A
Boris Vian aussi, bien que contrairement à lui
Echenoz nous fait voyager sous des latitudes qu'il connait réellement.
Cette accumulation de détails concrets, fruit de son expérience et de son don d'observation, insère paradoxalement ses personnages improbables et leurs invraisemblables agissements dans des environnements rigoureusement réalistes.
Quelle virtuosité.
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