AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,33

sur 982 notes
5
85 avis
4
34 avis
3
8 avis
2
7 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Une histoire en forme de conte sur la bêtise des habitants d'une ville du midwest: Baker, et sur la vengeance d'un de ses membres, John Kaltenbrunner ayant fait les frais de cette bêtise. L'ensemble est une satire de la société américaine, des institutions religieuses, de l'administration et des politiques locaux. Divertissant, mais un peu long à mon goût et d'un humour un peu forcé.
Commenter  J’apprécie          110
Je n'ai pas été vraiment passionnée par cette histoire un peu invraisemblable mais qui dépeint au vitriol et avec une certaine ironie certains types de société de l'Amérique profonde, ici tout est cumulé! C'est un peu le style de l'écrit qui m'a freinée, j'ai même dû relire l'argument au début du livre parce que je n'avais rien compris mais je me suis aperçu , à la relecture, qu'il n'y avait rien à comprendre et je suis passée au chapitre 1 !
Commenter  J’apprécie          90
Que penser des aventures de John Kaltennbrunner perdu au fin fond d'une ville du Middwest américain ?
Tout d'abord nous avons ici à faire à un long roman à l'écriture soutenue quasiment privé de tout dialogue comme si la colère contenue du personnage principale nourrissait à elle seul le fil de la narration. Kaltennbrunner, tout contre "la plèbe" de Baker qui le pousse avec violence toujours plus loins dans ses derniers retranchements. C'est ici que le roman prend toute son ampleur dans la description de ce personnage christique toujours seul face au monde qui l'encercle.
Il y a toujours un humour noir qui plonge avec délectation dans le cynisme d'un individu qui refuse de se soumettre à l'hypocrisie et les faux semblant d'un esprit américain de campagne industrialisé. La faiblesse du roman se situe peux-être dans cette ambiance permanente de "porcherie" ambulante qui semble éteindre toute possibilités de distinguer quelques étoiles dans la nuit la plus noir du cosmos ambivalent.
J'aurai bien aimé découvrir d'autres personnages à la psychologie plus fouillée qui aurait pu éclairer ou du moins distraire un roman qui m'a paru souvent un peu trop longuet...
En résumé, un livre à lire pour son écriture et son originalité, ainsi que sa perception très lucide sur le sentiment humain dévoilé sans fard et sans paillettes.
Commenter  J’apprécie          90
Alors, je sais, cette critique va peut-être aller à contre-courant, mais je dois dire que je n'ai pas aimé ce roman. Je l'ai trouvé long, comme sans vie. Il y a beaucoup de personnages, beaucoup de personnalités haute en couleur, mais aucune à laquelle me raccrocher, m'identifier.
Peut-être que je suis passé à côté de quelque chose d'extraordinaire, quelque chose d'exceptionnel qui ne m'a pas permis de comprendre cette histoire sans intérêt.
Dommage j'aurais aimé l'aimer, et dire que j'ai aimé, comme tout le monde.
Commenter  J’apprécie          50
Ouf, je viens de terminer le seigneur des porcheries ! Que ce fût long, j'ai lu en diagonale les 200 dernières pages car souvent un mot par ligne suffit à comprendre le sens de ces énumérations sans fin qui n'apportent rien à l'histoire.
Le premier chapitre ne raconte à peu près rien, sinon qu'il va se passer quelque chose d'extraordinaire, du jamais vu à Ploucville (alias Baker) et que ça va décoiffer.

La suite est l'histoire de John Kaltenbruner, qui est en quelque sorte le chat noir de Baker, l'homme qui personnifie la poisse et attire les emmerdes aussi sûrement que le miel attire les mouches. Il faut dire qu'il est né dans la cuvette des WC, ce qui n'est pas le meilleur départ dans la vie. Et il habite Baker, une sorte de trou du cul du monde, peuplé de gens divers et variés "les rats de rivière, les Hessiens, les citrons, les trolls" dont on ne sait pas bien qui ils sont mais dont le seul point commun est d'être à la limite de la dégénérescence.

Voilà comment est présenté le décor; tout y est noirci à outrance et l'auteur cherche systématiquement les formules les plus longues et les plus alambiquées pour le faire. Cela donne parfois de l'humour, mais plus souvent de la lourdeur et j'avoue avoir été tenté plus d'une fois d'abandonner.

Le Canard Enchainé avait une rubrique "Les films qu'on peut ne pas voir", on pourrait envisager "Les livres qu'on peut ne pas lire" et celui-ci y aurait sa place.
Commenter  J’apprécie          10
Bonne critique de la société religieuse et du système américain

Livre trop long, j'ai eu du mal à le terminer !
Commenter  J’apprécie          10
Bonne critique de la société religieuse et du système américain

Livre trop long, j'ai eu du mal à le terminer !
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (2467) Voir plus



Quiz Voir plus

Dead or Alive ?

Harlan Coben

Alive (vivant)
Dead (mort)

20 questions
1822 lecteurs ont répondu
Thèmes : auteur américain , littérature américaine , états-unisCréer un quiz sur ce livre

{* *}