La première chose que je souhaite souligner concernant ce roman, c'est que sa couverture ne lui rend pas hommage du tout. En effet, elle rebute même le lecteur à l'ouvrir. Quant à la quatrième, comme souvent, elle en dit trop. Bref, ayant d'accepté de lire ce livre dans le cadre d'une masse critique, je m'y suis donc attelée, non sans appréhension.
J'ai alors découvert l'originalité de la manière dont est relatée l'histoire de ce couple dont le mari tue sa femme dès le début en lui roulant dessus. C'est le policier chargé de l'enquête à l'époque qui est maintenant à la retraite et qui raconte toute l'histoire à sa fille parce qu'il n'a jamais oubliée cette affaire dont il était sûr de tenir le coupable mais sans preuve, il n'avait rien pu faire contre lui.
C'est bien la seule originalité de ce roman. L'histoire est très classique et sans profondeur, la thématique vu et revue et les personnages sont creux et pas du tout attachants. Ajoutez à ça des scènes à vomir qui ne servent pas du tout l'histoire. C'est alors qu'après avoir souffert pendant presque une bonne moitié, j'ai fini par décider d'arrêter les frais et d'abandonner cette lecture.
Normalement, lorsque j'abandonne un livre (j'abandonne rarement les services presse, je tiens à le préciser), je ne le chronique pas parce que n'ayant pas tout lu, j'estime ne pas avoir la légitimité de le chroniquer. Mais pour celui-ci, babelio me rappelle régulièrement de faire une chronique malgré mes réponses où je leur explique mon abandon et ses raisons.
Voilà pourquoi j'ai, malgré tout, rédigée cette courte chronique, qui bien entendue, ne figurera pas sur mon blog puisque j'ai abandonnée cette lecture.
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