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Critique de carinesanchez
Ayato, je le connais depuis sa plus tendre enfance, j'ai vécu l'histoire d'amour entre ses parents, les liens qu'il a avec ses cousins, cousines, amis, frères alors le retrouver, c'est comme retrouver un pote.
Ayato, c'est donc le fils aîné de Také et d'Aly (No a fuckin' romance). Mannequin de renommer mondiale, il est adulé tout autant que son père (Pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est le leader du groupe international de rock : Fuck Off). Pourtant, c'est un personnage odieux et le mot est faible ! Imbu de sa personne, souvent sarcastique, il n'est pas là pour qu'on l'apprécie, mais pour qu'on admire sa plastique. Toujours franc dans ses propos, même s'ils sont souvent très méchants, il assume qui il est. Un Dieu quoi ! Il est supérieur et de loin, à tout ce petit monde. Il n'y a que lui, qui a la « classe ». Au top de la mode, riche et bisexuel assumé. Il change de partenaire, comme il jette un kleenex usagé. (Enfin, dans son cas, c'est quelqu'un d'autre qui le jette pour lui !) Il ne doit rien à personne, s'il en est là où il est, il ne le doit qu'à son travail. A le voir, on se dit qu'il n'aime que lui. Pourtant, dans son coeur, il y a lui. L'intouchable. Alors quand il apprend que ce dernier va se marier, il décide qu'il ne veut pas le perdre au profit de quelqu'un d'autre. C'est juste impossible. Ils n'ont pas partagé autant de choses, pour risquer de tout perdre aujourd'hui. Alors, aujourd'hui, il a une mission ultime : tout faire pour que ce mariage n'ait jamais lieu.
Je suis complètement fan, des Kirishima. Si vous les suivez depuis leur naissance, on a toujours su que les enfants avaient méga mauvais caractère (et ce n'est rien de le dire !). Pourtant, en découvrant ce roman, je suis passée outre l'attitude de me** d'Ayato. Parce que j'ai découvert un homme sensible, qui se cache derrière un personnage arrogant. Il sait aimer. Aimer quelqu'un d'autre que lui. Il sait faire preuve de tendresse, d'attention. J'ai été attendri par le personnage. Bon, oki, dans certaines scènes, (qui valent leur pesant d'or) il n'y a rien de tendre en lui. C'est justement cette magie qui me fascine. Même, dans les moments de partage, on ressent l'amour qu'Ayato porte à son bien-aimé, tout en percevant son caractère dur. J'aime ce paradoxe.
L'intouchable, on le connaît… Mais pas si bien que ça. C'est un homme, qui au fond se cherche, croit aimer, toutefois, quand il prend la mesure des choses, de ses sentiments, se rend compte que tout n'était qu'illusion. C'est comme si, au fond de lui, il savait tout, de ses sentiments, qu'il finira par enfin admettre. Cependant, acceptera-t-il d'aller au fond des choses ? D'éventuellement souffrir du choix qu'il a fait ?
Encore une fois, j'ai été comblé par cette lecture. Retrouver tout ce beau monde, c'est juste excellent. Connaissant tous les personnages, c'est un véritable plus, je me suis plongée à fond dans le roman, je voulais tout savoir, tout découvrir. L'écriture d'Ena est toujours aussi percutante (parfois grossière, enfin, ce n'est pas elle, ce sont ses personnages qui le sont), je ris, parfois, j'ai la boule au ventre et je soupir de soulagement, de bonheur. Ses personnages même égocentriques, peu sûrs d'eux, pour certains sont touchants, complexe et c'est un plaisir de vraiment les découvrir au fil des pages. Quand je finis un de ses romans, je veux juste le recommencer. Mais cette fois-ci, j'ai la chance d'avoir entre les mains, Kei et Hiro. Alors vous savez quoi ? Je vais juste vous abandonner pour retrouver le deuxième fils de Takéomi et Aly., pour ceux qui sont à la masse : Kei (trop d'la chance la meuf !)
Lien : https://www.facebook.com/mon..
Ayato, c'est donc le fils aîné de Také et d'Aly (No a fuckin' romance). Mannequin de renommer mondiale, il est adulé tout autant que son père (Pour ceux qui ne le connaissent pas, c'est le leader du groupe international de rock : Fuck Off). Pourtant, c'est un personnage odieux et le mot est faible ! Imbu de sa personne, souvent sarcastique, il n'est pas là pour qu'on l'apprécie, mais pour qu'on admire sa plastique. Toujours franc dans ses propos, même s'ils sont souvent très méchants, il assume qui il est. Un Dieu quoi ! Il est supérieur et de loin, à tout ce petit monde. Il n'y a que lui, qui a la « classe ». Au top de la mode, riche et bisexuel assumé. Il change de partenaire, comme il jette un kleenex usagé. (Enfin, dans son cas, c'est quelqu'un d'autre qui le jette pour lui !) Il ne doit rien à personne, s'il en est là où il est, il ne le doit qu'à son travail. A le voir, on se dit qu'il n'aime que lui. Pourtant, dans son coeur, il y a lui. L'intouchable. Alors quand il apprend que ce dernier va se marier, il décide qu'il ne veut pas le perdre au profit de quelqu'un d'autre. C'est juste impossible. Ils n'ont pas partagé autant de choses, pour risquer de tout perdre aujourd'hui. Alors, aujourd'hui, il a une mission ultime : tout faire pour que ce mariage n'ait jamais lieu.
Je suis complètement fan, des Kirishima. Si vous les suivez depuis leur naissance, on a toujours su que les enfants avaient méga mauvais caractère (et ce n'est rien de le dire !). Pourtant, en découvrant ce roman, je suis passée outre l'attitude de me** d'Ayato. Parce que j'ai découvert un homme sensible, qui se cache derrière un personnage arrogant. Il sait aimer. Aimer quelqu'un d'autre que lui. Il sait faire preuve de tendresse, d'attention. J'ai été attendri par le personnage. Bon, oki, dans certaines scènes, (qui valent leur pesant d'or) il n'y a rien de tendre en lui. C'est justement cette magie qui me fascine. Même, dans les moments de partage, on ressent l'amour qu'Ayato porte à son bien-aimé, tout en percevant son caractère dur. J'aime ce paradoxe.
L'intouchable, on le connaît… Mais pas si bien que ça. C'est un homme, qui au fond se cherche, croit aimer, toutefois, quand il prend la mesure des choses, de ses sentiments, se rend compte que tout n'était qu'illusion. C'est comme si, au fond de lui, il savait tout, de ses sentiments, qu'il finira par enfin admettre. Cependant, acceptera-t-il d'aller au fond des choses ? D'éventuellement souffrir du choix qu'il a fait ?
Encore une fois, j'ai été comblé par cette lecture. Retrouver tout ce beau monde, c'est juste excellent. Connaissant tous les personnages, c'est un véritable plus, je me suis plongée à fond dans le roman, je voulais tout savoir, tout découvrir. L'écriture d'Ena est toujours aussi percutante (parfois grossière, enfin, ce n'est pas elle, ce sont ses personnages qui le sont), je ris, parfois, j'ai la boule au ventre et je soupir de soulagement, de bonheur. Ses personnages même égocentriques, peu sûrs d'eux, pour certains sont touchants, complexe et c'est un plaisir de vraiment les découvrir au fil des pages. Quand je finis un de ses romans, je veux juste le recommencer. Mais cette fois-ci, j'ai la chance d'avoir entre les mains, Kei et Hiro. Alors vous savez quoi ? Je vais juste vous abandonner pour retrouver le deuxième fils de Takéomi et Aly., pour ceux qui sont à la masse : Kei (trop d'la chance la meuf !)
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