Lorsque Irene se rend compte que son mari Gil lit son journal intime, elle lui tend un piège: le journal "officiel" sera rédigé pour le manipuler et le "vrai" journal caché dans un coffre. Mais parce qu'un roman de
Louise Erdrich ne se résume pas si simplement, il faudrait ajouter la déliquescence d'un couple, les rapports entre l'art et la représentation du réel, l'influence des origines familiales (indiennes),la survenue de l'alcoolisme maternel, la présence d'un enfant surdoué, la frontière entre la maltraitance et la colère, la culpabilité et l'amour...
Et un épilogue inattendu quoique inévitable... Décidément,
Louise Erdrich est une grande dame des lettres américaines.
Commenter  J’apprécie         40