Le feu de départ m'a emporté dans l'histoire d'Ismaïl, amoureux transit, enfant brisé en quête de domination pour ne plus se faire marcher dessus. de la perte de celle qu'il aimait et qui le plonge dans l'obscurité. Il ne contrôle plus sa colère et assouvit sa vengeance sans remords, laissant des bouts de poèmes sur le lieu de ces méfaits. Un jour, il est pris d'empathie pour un enfant qu'il va élever comme sa fille. Mais Ismaïl à toujours la haine...
J'ai malheureusement eu du mal à m'attacher aux personnages du livre, mise à part Leila. le tueur est beaucoup trop mécanique, je peine à croire à un tel débordement de rage par amour. Continuer sur la piste de l'éducation d'Ismaïl et de sa rancoeur envers sa famille aura été plus intéressant, même si le sujet est éculé. Les coïncidences vers la fin deviennent un peu trop grosses pour que je puisse être totalement soufflé par le final.
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