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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Lorsque Babelio m'a proposé de lire Terrible vertu, la biographie romancée de Margaret Sanders, j'avoue à ma grande honte que je n'avais jamais entendu parler de cette grande dame. Et pourtant, elle a joué un rôle crucial pour la condition féminine. En 2019 on a tendance à oublier qu'il n'y a pas si longtemps que ça, le planning familial, la contraception féminine n'existaient pas.
C'est avec entêtement, passion et révolte que Margaret va engager un véritable combat pour que les femmes soient enfin libres, libres de donner la vie quand elles le souhaitent et non de subir grossesse sur grossesse. C'est en souvenir de sa mère, épuisée par 13 grossesses que Margaret va dédier sa vie à ce combat. Margaret est en avance sur son temps. Elle aime le sexe, est infidèle, libre. Elle essaie de transmettre son savoir aux autres femmes révoltée par ce qu'elle voit dans son métier d'infirmière: des enfants mal nourris, des femmes qui se déchirent le corps à coups d'aiguilles à tricoter...
Cette biographie, bien écrite, s'est révélée passionnante dès les premières pages.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Cherche midi qui m'ont permis une belle découverte.
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Margaret Sanger est l'une des plus grandes militantes et figures du féminisme du vingtième siècle. Venant d'une famille pauvre, où elle a vu sa mère épuisée grossesse après grossesse, elle n'aura de cesse de se battre pour la cause féminine. Elle sera à l'origine de la création du planning familial et militera pour la légalisation de la pilule. C'est cet incroyable destin qu'Ellen Feldman a décidé de retracer pour ses lecteurs. Il s'agit ici d'une biographie romancée de l'une des figures les plus emblématiques de son temps.

Je dois avouer qu'avant de débuter ce roman, je ne connaissais pas du tout Margaret et j'ignorais tout de ses accomplissements. La quatrième de couverture m'a d'emblée attirée, et ayant eu envie d'en apprendre plus sur le parcours de cette femme, je me suis lancée dans cette lecture. Et je ressors finalement conquise.

J'ai été totalement subjuguée par Margaret, que j'ai trouvée forte de ses idées. Elle n'arrêtera pas de se battre pour ses idéaux même si cela a pu lui valoir une multitude d'ennuis. Ellen Feldman a réussi à romancer son récit de telle manière que la lecture devient très difficile à arrêter. Je n'ai pu m'empêcher d'avoir peur pour Margaret, mais également de ressentir beaucoup d'admiration.

Il est vrai que parfois, j'aurais apprécié que l'auteure aille plus en avant dans les actes de Margaret. le tout reste très en surface, et ce récit se concentre souvent davantage à la vie personnelle de Margaret. Il sera ainsi fait mention de ses amours, de ses enfants. Pour ma part, ce n'est pas vraiment un bémol, ce récit n'ayant pas pour vocation d'être une biographie complète ni même un essai.

La plume est très fluide. L'utilisation de la première personne dans la narration peut perturber au début, lorsque l'on sait que l'on lit une biographie romancée, mais semble finalement assez judicieux, puisqu'il permet une immersion totale au lecteur.

Un portrait d'une femme qui à révolutionné son époque, militante et féministe qui s'est battue envers et contre tous pour accorder aux femmes des droits nécessaires. Je ressors totalement conquise de ce récit. À lire.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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J'ai adoré ce livre qui m'a parfois décontenancée. Je n'ai pas l'habitude de lire des biographies romancées mais l'exercice a été instructif, intéressant et profitable.
J'ai trouvé orignal que dans le texte, écrit à la première personne, viennent parfois s'intercaler des messages des proches, leur point de vue. Cela a permis d'avoir accès à d'autres subjectivités et de faire apparaître des faces d'ombre.
En parlant d'ombres, les critiques sur le livre sont intéressantes à lire : on ne pardonne pas à la militante de s'être moins occupée de ses enfants, d'avoir quitté le pays pendant un an, etc. Mais je n'ai jamais lu ce genre de critiques pour un homme qui part au front pour un an de guerre, qui travaille dur et ne peut pas être présent à la maison… ces critiques sont belles et bien réservées aux femmes : « mauvaise mère ». Cette femme n'a pas été une mère présente, oui, elle a fait le choix de se battre pour permettre à d'autres femmes de vivre, de se libérer des grossesses à répétition, des maternités forcées, des morts précoces, elle a été en prison pour ces femmes, mais on lui reproche d'avoir couché avec plusieurs hommes (et pendant qu'elle était mariée) et d'avoir été une « mauvaise mère ». Comme quoi, il y a encore beaucoup de travail à faire puisque le dévouement à une cause semble encore ne devoir être réservé qu'aux hommes (ou aux femmes sans enfants?), que l'amour libre n'ait pas lieu d'être pour une femme. J'aimerai aussi rappeler que si elle a eu des enfants c'est parce que son mari l'a harcelée à ce sujet, il l'a manipulée et lui a fait du chantage, elle n'en voulait pas, elle voulait être libre. Avec sa tuberculose, les grossesses ont failli la tuer (et le savait que c'était risqué pour elle). Et pourtant elle a aimé ses enfants, mais pourquoi aurait-elle dû tout gérer ensuite ?
Oui, Margaret Sanger n'était pas parfaite, et c'est normal, il s'agit d'un être humain, personne n'est parfait. J'ai aimé que l'autrice nous montre aussi ses failles, douleurs, fuites. Peut être parce que c'est une réflexion que j'ai déjà depuis quelques années : qu'il n'est pas bon de penser à certaines personnes comme des modèles parfaits qui sont ensuite démontés par des scandales, mais plutôt de s'inspirer des choses positives qu'elles ont mis en place et de se servir de leurs idées pour nourrir nos réflexions.

Ce livre permet de s'immerger dans les conditions terribles de l'époque au niveau social, sanitaire, économique, des violences, etc. et donc de comprendre la gravité de la situation, l'importance du combat mené par Margaret Sanger.
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Petite, Margaret a vu sa mère mettre au monde 13 enfants alors qu'ils ne pouvaient pas se le permettre. Elle l'a vue devenir une loque, une chose fatiguée et précocement vieillie. Toujours enceinte, épuisée, détachée de tous ces enfants. A peine un enfant est-il sevré qu'un autre arrive dont elle doit s'occuper.

Sa mère n'est pas la seule femme dans ce cas. Elles sont nombreuses ces femmes qui ne souhaitent plus d'enfants mais tombent enceintes. Des femmes qui se meurtrissent en accouchements ou en avortements dangereux. Qui n'ont pas d'autres solutions. Avec un mari au chômage ou peu payé. Une accumulation de bouches à nourrir alors qu'ils ne peuvent pas les nourrir. Une pauvreté accrue… Toutes sortes de conséquences désastreuses.
Pour son combat, Margaret sera arrêtée, jugée, condamnée, par la justice, par les siens. Elle est un personnage complexe, à la fois révolutionnaire, héroïne et égoïste. Pour sa cause (qui est plus que juste) elle sacrifiera ses enfants. Une mauvaise mère, une mauvaise épouse mais un bénéfice pour la société.

Une femme en dehors de son temps. Et une femme qui pourrait être - serait bon de mettre - d'actualité. En effet, en ce moment il y a débat autour de la pilule qui est de plus en plus controversée (et pour cause !) Mais quand j'ai lu ce livre, j'ai pensé à la pilule, la solution à ce problème. La solution à un instant T.
En effet, il y a les préservatifs mais ces femmes sont dépassées parce que, malheureusement, les solutions d'époque (préservatif, coït interrompu…) viennent du mari ou coûtent cher. Elles rêvaient d'une pilule magique qu'elles pourraient prendre.

Ellen Feldman réussit à faire ressortir cette détresse, à faire comprendre l'importance du combat de Margaret. Sans cacher qu'elle était loin d'être parfaite.
le point fort, d'ailleurs, sont les témoignages de ses proches. le point de vue est celui de Margaret. Mais de temps en temps les autres personnages s'expriment et donnent leur avis sur ce qu'elle vient de dire ou sur sa version d'un événement. Ce qui met ces instants en perspective. Elle se trompe souvent sur ce qui passe dans la tête des autres, elle ne voit pas toujours la même chose que ses proches...
Un roman, une histoire, un destin à découvrir. Une opinion à se forger.
Lien : http://blondes-and-litterair..
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Lorsque l'on m'a proposé ce livre du Cherche midi éditeur dans le cadre d'un Masse critique privilégié de chez Babélio, je dois avouer que j'ai seulement craqué sur l'esthétique de la couverture, ce que je supposais du roman, et répondu assez vite par l'affirmative… Mais, fidèle à ma propension de ne pas lire les quatrième de couverture, j'ai en réalité été bien surprise par les premières pages de Terrible vertu. Car autant je n'ai pas été complètement séduite par le style, et cette utilisation de la première personne un peu déstabilisante, autant j'ai été enchantée par son sujet. Ce roman s'avère être en effet la biographie romancée d'une grande dame américaine, Margaret Sanger, à l'origine d'un mouvement du XXème siècle pour le contrôle des naissances, du planning familial et de la pilule. Elle naît en 1879 dans une famille ouvrière d'origine irlandaise, sixième des onze enfants du couple. Sa mère a subit en tout 18 grossesses. Et c'est ce qui révolte dès le plus jeune âge cette jeune fille intrépide et libre, la soumission des femmes au mari, la non égalité devant le plaisir sexuel, et ces grossesses à répétition qui entretiennent la misère des classes les plus pauvres. Pourtant, Margaret se marie et a des enfants. Mais justement, c'est ce choix dans ses désirs de grossesse, ce choix de disposer de son corps, qu'elle revendique. Très vite, Margaret met en danger sa jeune famille pour ses idées, les négligeant malgré son amour, prenant des amants, bravant les institutions. Son but est de réduire le nombre d'avortements qu'elle constate dans sa profession d'infirmière et de sage-femme dans les quartiers les plus pauvres de New York. le mariage est souvent pour ces femmes au départ un choix économique, ou amoureux, puis les enfants commencent à arriver, et chaque naissance aggrave la situation. La contraception n'est pas encore entrée dans les moeurs très puritaines de l'Amérique du début du XXème siècle et inciter ses concitoyens à la pratiquer un acte illégal. Margaret Sanger le constate lorsqu'elle sort en 1914 sa revue The Woman Rebel. Mais rien n'arrête cette femme qui cherchera sans cesse des appuis et à étendre ses connaissances sur le sujet. Est-ce parce que son personnage est controversé qu'il a disparu de la mémoire collective ? On l'accusa d'être trop libertine, et d'eugénisme (ce que Ellen Feldman réfute). En 1951, elle incite pourtant un biologiste américain à mettre au point la contraception orale qui deviendra la pilule. Je suis ressortie de cette lecture enchantée d'avoir tant appris sur ce mouvement qui a sans conteste libéré la femme, et admirative devant la force de conviction et l'obstination de Margaret Sanger. Mes bémols sur le style se sont vite envolés devant l'intérêt de l'histoire que l'on me racontait. J'ai repensé également à cette série que j'avais beaucoup aimé regarder sur Netflix, Call the Midwife, et qui illustre parfaitement le contexte dans lequel Margaret Sanger a commencé son combat, même si l'intrigue se déroule dans les années 50 dans un quartier pauvre de Londres.
Lien : https://leslecturesdantigone..
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Un roman dur, émouvant : une héroïne combative.

Margaret est issue d'une famille nombreuse, elle va se battre pour les femmes et leur droit à la contraception à une époque où parler de sexe, de contrôle des naissances est tabou, considéré comme un crime.

Ce roman trace le tableau d'une femme avec ses forces, ses faiblesses, son combat au détriment de sa famille, de ses enfants. Ce dernier point donne au roman un côté dur et émouvant. de plus, la narration est parfois plurielle, on a l'intervention des enfants de Margaret et on sent bien ce qu'ils leur en coûtent ainsi qu'à leur mère. Il y a aussi sa soeur, son mari, ses amants et des personnes rencontrées tout au long des années. Ces points de vue renforcent le côté sombre de l'histoire de cette femme qui s'est battue pour que les femmes choisissent ce qu'elles veulent faire de leur corps, de leur vie.

On sent bien ici que tout a un prix! le combat de Margaret ne peut se faire sans dommage pour elle.

Plus que l'histoire d'un combat, ce roman est l'histoire d'une femme, de ses peines, de ses joies, de ses sacrifices.
Lien : https://viou03etsesdrolesdel..
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Il s'agit d'une biographie romancée : celle de Margaret Sanger, qui milite toute sa vie pour les femmes et leur liberté.

Après une enfance dans une famille pauvre, entourée de 11 frères et soeurs, elle se bat pour devenir infirmière...dans le cadre de ce métier, elle constate la misère des femmes.

Elle part dans le long combat pour le droit à la contraception...combat plus qu' éprouvant : elle est attaquée, salie, arrêtée, jugée, condamnée, expatriée.

En 1952, elle est à l'origine du planning familial.
Un témoignage puissant pour comprendre l'avancée des droits féminins.


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J'aime beaucoup les portraits de femmes, j'étais donc très emballée à l'idée de découvrir Terrible vertu de Ellen Feldman. Ici il ne s'agit pas d'une biographie puisqu'elle est romancée mais les grandes lignes du parcours de Margaret Sanger sont bien évidemment présent.

J'avoue que je ne connaissais pas bien cette femme, honte à moi 🙈
Si Margaret est connu, c'est grâce à son combat en faveur de la contraception et de la création des premiers plannings familiaux. Infirmière de profession, c'est en voyant le nombre de femmes ( et sa propre mère ) lutter face aux nombre de grossesses à répétition qu'elle a eu l'idée de mener son combat.

C'est aussi une femme au caractère bien trempé, passionnée et complètement libre face à sa sexualité. Son engagement fut toute sa vie si bien que malheureusement elle y délaissa un peu ses trois enfants.
Dans cette biographie romancée nous allons donc suivre son combat et ses espoirs. En ce qui concerne l'écriture, j'ai eu l'impression que tout se déroulait assez vite. C'est sous la voix de Margaret que le récit se construit même si nous avons aussi la vision d'autres protagonistes qui interviennent de temps en temps. J'ai bien aimé cette alternance de point de vue.

En ce qui concerne Margaret, certains ne vont clairement pas cautionner certains de ses actes et pourtant moi ça ne m'a pas dérangé, personne n'est parfait et je ne suis personne pour juger de la vie d'autrui. Elle peut paraître antipathique mais rien n'est vraiment blanc ou noir. Surtout en ce qui concerne son mari. Mais je m'éloigne de mon propos et je vous propose plutôt de vous faire votre avis. J'ai maintenant envie d'en apprendre encore plus et de peut être lire un essai sur le sujet.

J'ai passé un très bon moment de lecture et je ne peux que vous conseiller de tenter l'aventure avec Margaret, ne serait-ce que pour le sujet, primordial et percutant. « N'oubliez jamais qu'il suffira d'une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant. »
Simone de Beauvoir
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Une biographie romancée, passionnante et très intéressante. L'écriture met bien en valeur son tempérament "révolutionnaire", son envie de faire bouger les choses pour que la condition des femmes changent à cette époque (et il y avait du boulot 🤦🏻‍♀️). On sent que l'auteur a fait beaucoup de recherche et elle a donné aussi la parole à l'entourage de Margaret, ce qui donne encore plus de poids à son histoire. Un roman à découvrir vraiment !
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Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!

Ce roman est basé sur un fait vécu. La vie de Margaret Sanger nous est racontée depuis son enfance, et on pourra la suivre dans ce long chemin qu'aura été sa vie.
Élevée dans une famille nombreuse, où à l'époque le rôle principal de la femme était de donner naissance. Avec 13 grossesses une à la suite de l'autre, prendre soin de la famille dans un milieu défavoriser où la faim est le compagnon quotidien des enfants. En voyant sa mère dépérir au fil des années, encore jeune et pourtant si vieille, Margaret, tout comme 2 de ses soeurs se font une promesse, de ne jamais avoir d'enfants, de ne jamais devenir comme leur mère.
C'est le début d'un long cheminement pour elle, d'abord obligée d'abandonner ses études, pour prendre soin de la maisonnée pendant que sa mère se meurt, elle finira par retourner à l'école pour prendre un cours d'infirmière, qu'elle devra abandonner bien malgré elle quand elle fini par se marier et que l'école va l'apprendre, elle ne pouvait pas continuer en étant mariée, selon les règlements de l'époque.
Contre le fait d'avoir des enfants, elle finira quand même par donner naissance. Mais sa hargne et son entêtement feront en sorte qu'elle ne sera pas femme au foyer, comme encore à cette époque, il était de mise de l'être.
Elle deviendra militante pour les plus démunis, mais c'est auprès des femmes surtout qu'elle entreprendra ses démarches, en voulant les instruire, les aider, empêcher les avortements boucheries, elle voudra éduquer les femmes, sur leur sexualité, et leur droit de choisir de donner la vie, et ce, quand elle le désire. C'est ainsi qu'elle ouvrira la première clinique clandestine pour le contrôle des naissances, en expliquant le condom (qu'on appelait à l'époque la capote anglaise), et finira par promouvoir la pilule anticonceptionnelle en 1952, mais tout ça elle l'aura fait au détriment de ses enfants, de sa famille, de son mari. Prison, exil, abandon, tout ça fait partie de sa vie.
Nous, en tant que femmes, devons beaucoup à Margaret Sanger, pour notre liberté dans tous les domaines, pour la place que les femmes se doivent de prendre dans la vie, en tant qu'épouse, mère, femme au travail, et même dans la sexualité.
Que vous dire, ce roman biographique, est extrêmement bien fait, et on accroche solidement à la vie de cette femme, l'auteure a très bien capté mon attention de par ses mots. Écrit sous la forme d'un roman, sur une très longue période, elle nous fait ressentir toutes les émotions que Margaret a pu ressentir, autant en tant qu'enfant, qu'en tant que femme adulte. Elle nous fait réaliser, que ce sont des femmes de la sorte qui ont fait que nous sommes ce que nous sommes aujourd'hui. Je vous recommande ce roman, très bien écrit, et qui je le crois, vous passionnera comme il l'a fait pour moi !
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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