Il m'est agréable de lire sous la belle plume d'un autre, en l'occurence ici un grand auteur, ce que je m'évertue laborieusement à dénoncer comme pièges tendus aux écrivains consacrés, ce que
John Kennedy Toole appelle
la conjuration des imbéciles, quand il est question notamment de cynisme et de mauvaise foi totales. J'ai l'impression de me délester d'un fardeau tout seul à porter, et ça fait du bien.
"Tolstoï avait dix-sept ans, et comme il le raconte dans Jeunesse, y donna la première preuve des contradictions qui le tourmentèrent pendant le reste de son existence, ce qui lui ont valu auprès des esprits légers, qui ne songent pas que s'il ne les pas lui-même avouées, nous ne saurions rien de ses fautes, une réputation d'hypocrisie"
Je sais gré à
Dominique Fernandez de lui rendre cette justice.
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