90 pages divisées par deux pour cette édition bilingue, court mais intense. Des réflexions dans lesquelles je me retrouve parfois que ce soit dans « Veiller ou dormir » ou dans «
L'Effondrement ».
J'ai mis plus de temps à penser qu'à lire ce livre, ce qui est positif évidemment, et je continue de le faire en écrivant cette modeste critique.
Les mots de l'auteur ont su m'aider, là où je ne les trouvais pas, il me fait me poser des questions que je ne m'étais jamais poser.
Au-delà de l'aspect intime qui donne un écho particulier au livre à mes yeux,
Francis Scott Fitzgerald nous livre une introspection réussie entre pessimisme et réalisme. J'aurais presque envie de parler de nihilisme mais j'ai trop de lacunes en philosophie et sûrement le mot de
Cioran m'incite à penser ça.
Ce fut un beau compagnon d'insomnie et je le garde à portée de main.
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