Trois contes : Un coeur simple - La légende de Saint Julien l'Hospitalier - Hérodias

un coeur simple qui donne une telle impression de simplicité . P9 L27
pauvre petit gars ! pauvre petit gars ! p43 L31
il appuyait sur les marches la courbe de son bec p55 L28-29

Peu d’amis là regrettèrent, ses façons étant d’une hauteur qui éloignait.

La mère Liébard, en apercevant sa maîtresse, prodigua les démonstrations de joie. Elle lui servit un déjeuner, où il y avait un aloyau, des tripes, du boudin, une fricassée de poulet, du cidre mousseux, une tarte aux compotes et des prunes à l’eau-de-vie […].
(Un cœur simple)

Elle pleura tellement que sa maîtresse lui dit : — Eh bien ! faites-le empailler ! 
(Un cœur simple)

Il s’appelait Loulou et son corps était vert, le bout de ses ailes rose, son front bleu et sa gorge dorée. […] Elle entreprit de l’instruire ; Bientôt il répéta “Charmant garçon ! Serviteur, monsieur ! Je vous salue, Marie !” 
(Un cœur simple)

Pendant un demi-siècle, les bourgeoises de Pont-l’Évêque envièrent à Madame Aubain sa servante Félicité. Pour cent francs par an, elle faisait la cuisine et le ménage, cousait, lavait, repassait, savait brider un cheval, engraisser les volailles, battre le beurre, et resta fidèle à sa maîtresse qui n’était pas cependant une personne agréable. 
(Un cœur simple)