« l'homme, que j'apprends à connaître un peu plus chaque jour, et en train de laisser une empreinte différente sur mon cœur. »
« - voilà pourquoi il ne pourra jamais y avoir rien de sérieux entre toi et moi, Kabinsky. Pour moi, quand on aime véritablement, on se donne tout entier entier entier, l’un à l’autre. On ne partage pas »
« Pour lui, le verbe « aimer » ne se conjugue qu’au pitié, alors que pour moi, il est mon seul et unique singulier. »
Mais la vie, ce n'est pas ça. Ce n'est pas être constamment sur ses gardes.
Ce n'est pas tenir tout le monde à distance. Pour moi, pour vivre, il faut se lâcher. Oser. Prendre des risques. Se planter, avoir peur, avoir mal, mais recommencer, parce qu'au bout du compte, les hauts sont tellement plus exaltants à vivre quand on a connu les bas. Et crois-moi, ce sont les mots d'un homme qui a été tellement bas qu'il a voulu commettre l'irréparable.
Ils s'en vont tous, un jour. Et moi, je me sens toujours aussi vide, toujours aussi seul, même au milieu d'une foule.
Le jour où je t’embrasserai, ce sera parce que tu me l’auras demandé
OK ? Tu fort, es puissant, rien ni personne ne réussira t’abattre. Parce que, comme moi, tu es un survivant, et peu importe combien de coups la vie a décidé de t'envoyer en pleine figure, tu seras toujours capable de te relever... Il le faut, car tout ce que tu as réussi à construire mérite que tu te battes pour le préserver.
Tout le monde éprouve du désir. C'est le souffle créateur qui régit le monde : sans ça, les hommes n'auraient aucune ambition, aucun objectif, et ils ne se donneraient pas les moyens de s'accomplir pleinement. Nos corps sont conçus pour le plaisir. Ce qu'on propose à La Galerie, c'est un espace sécuritaire où chacun peut s'affranchir de ses limites et lâcher prise, pour s'abandonner totalement à la plus primaire et pure des sensations.
Peut-être que ce qui définit réellement un foyer, ce n’est pas l’adresse ou les quatre murs qui le délimitent, mais tout simplement le sentiment d’appartenance que l’on a quand on y revient.