Marc Bigle est de retour...
Gustave Gailhard nous conte la suite des aventures ou des mésaventures de son Candide à lui, Marc Bigle, un ancien pion devenu voleur par opportunité et qu'il l'est resté par goût du luxe et de l'aventure.
Marc Bigle a échappé à la mort, aux griffes de l'espion Herlitz, au policier Bonenfant et il est parvenu à quitter le yacht avec les bijoux tant convoités... pourtant, à Tanger, dans l'attente du bateau de retour à Marseille, il a l'impression d'être surveillé. Pire, à bord, il croise un étrange personnage qu'il a déjà vu dans les rues de Tanger... mais aussi l'inspecteur Bonenfant.
Ce dernier, toujours un peu trop bavard, s'excuse d'avoir parlé de lui à son chef et lui apprend qu'il sera sûrement convoqué au poste à son arrivée à Marseille. Qu'à cela ne tienne, Marc Bigle décide de devancer l'appel afin de convaincre Bonenfant et son chef qu'il n'a pas volé les bijoux. Oui, mais voilà, après avoir déjoué la fouille, il ne retrouve plus les bijoux là où il les avait caché... et si ce curieux personnage du bateau avait dérobé son butin ?
Suite directe de « L'affaire du yach Poséidon », « le sachet de joyaux » nous raconte les mésaventures de Marc Bigle, cherchant à vendre les bijoux, mais étant floué par le partenaire de Herlitz (le méchant propriétaire du yacht et espion allemand), il va devoir prendre à nouveaux des risques (mais, au fond de lui, il aime ça) afin de récupérer son bien (qui était celui de la femme d'Herlitz) et en profiter pour contrecarrer les nouveaux plans des espions allemands.
Toujours sympathique, Marc Bigle a le don pour se mettre dans les ennuis, ce sera encore le cas dans cette histoire dans laquelle il retrouve le policier Bonenfant.
Pas grand chose à ajouter par rapport aux autres titres de la série, on y retrouve les mêmes éléments : narration à la première personne, aventures, vol, cupidité, humour... etc.
Au final, les aventures de Marc Bigle sont toujours aussi agréables à lire, bien rythmées, drôles. Un bon moment de lecture.