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Critique de Korusan
Premier livre de Neil Gaiman à passer dans mes mains ! Une première rencontre réussie, avec cette sorte de conte, de nouvelle, qui s'étend sur plus de 200 pages.
Un livre fantastique dans les règles de l'art : le bizarre et l'étrange s'invite dans le quotidien d'une petite famille lambda et n'est jamais entièrement expliqué. Ici, l'important n'est pas de comprendre, mais de vivre une expérience, d'être emporter dans une ambiance. L'important n'est pas de savoir, mais de voir.
Pour moi, c'est réussi. On traverse les souvenirs du narrateur – très attachant au passage ; un vrai travail à été fait pour lui donner corps et âme – dans une immersion totale. Ici, il s'agit de mystère, et de magie aussi crasseuse qu'ancestrale ; parfois bienfaisante, parfois égoïstement maléfique. Dans ces choses de l'autre-monde, rien n'est jamais, en réalité, foncièrement bon ou mauvais.
Une petite histoire dont j'ai d'abord détesté le premier chapitre (la forme, le fond, j'ai haussé haut les sourcils), et qui a sû m'embarquer dès le chapitre 2. Et heureusement, car j'aurais manqué un récit très bien maîtrisé, avec un épilogue qui nous laisse dans un drôle d'état doux-amer...
Un livre fantastique dans les règles de l'art : le bizarre et l'étrange s'invite dans le quotidien d'une petite famille lambda et n'est jamais entièrement expliqué. Ici, l'important n'est pas de comprendre, mais de vivre une expérience, d'être emporter dans une ambiance. L'important n'est pas de savoir, mais de voir.
Pour moi, c'est réussi. On traverse les souvenirs du narrateur – très attachant au passage ; un vrai travail à été fait pour lui donner corps et âme – dans une immersion totale. Ici, il s'agit de mystère, et de magie aussi crasseuse qu'ancestrale ; parfois bienfaisante, parfois égoïstement maléfique. Dans ces choses de l'autre-monde, rien n'est jamais, en réalité, foncièrement bon ou mauvais.
Une petite histoire dont j'ai d'abord détesté le premier chapitre (la forme, le fond, j'ai haussé haut les sourcils), et qui a sû m'embarquer dès le chapitre 2. Et heureusement, car j'aurais manqué un récit très bien maîtrisé, avec un épilogue qui nous laisse dans un drôle d'état doux-amer...
