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Critique de docline


Moi, je crois toujours tout ce qu'on me dit, alors ...
Alors il a fallu que j'arrive à la fin du bouquin, que j'ai jugée très artificielle, pour comprendre que j'étais leurrée depuis le départ sur la nature de cette "autobiographie"...
Du coup je suis allée jeter un oeil sur la biographie de cet auteur dont je n'avais jamais entendu parler: découverte donc que je m'étais faite avoir doublement : Rien de vrai dans cette configuration familiale du neveu-écrivain élevé depuis l'âge de 6 ans, suite au décès dramatique de ses parents, par sa tante maoïste ex fonctionnaire internationale .
¡Caray!
N'empêche,
malgré cette surprise finale j'ai cependant apprécié ma lecture.
Qui parle d'un retour vers Bogota, retour vers le passé;
Au départ, le narrateur a magiquement gagné dans un prix littéraire la somme exacte lui permettant d'acquisition de l'immense et vieille maison qui le faisait rêver enfant lorsqu'il habitait déjà le quartier de "Parque de Portugal". Il va donc s'y installer avec sa vieille tante .
Moi, toutes les maisons me fascinent, j'ai aimé les descriptions de la maison, du quartier, de l'installation.
(NB Cette maison, on la trouve assez facilement grâce aux view-street de google-map - c'était tout de même un peu bizarre de donner sa vraie adresse dans une telle ville ...).
On ne peut bien parler que des réalités que l'on met à distance, le fait que cet écrivain ait bourlingué à travers une bonne partie de la planète lui permet un jugement intéressant sur certains aspects de sa ville (ainsi que sur d'autres villes où il a vécu).
("cet écrivain": le faux et le vrai donc)
Bref, ce roman sonne juste et se lit agréablement
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