Comment font les gens qui n'ont que ça comme horizon ? Sans cesse un truc à démonter, plâtrer, poncer, enduire, tailler, remonter. Un festival d'infinitif pour une sinécure qui ne s'arrêtait jamais. L'infinitif à l'infini.
Les gens ont deux visages, surface et profondeur. Pour certains on est loin de l'iceberg. La première impression est la bonne et il n'est pas nécessaire de beaucoup gratter la couchez supérieure pour se rendre compte qu'on a fait le tour du bonhomme et que rien ne vous attend en dessous. Certains portent sur eux l'uniformité de leur médiocrité.
Ce n'est pas parce que je rentre dans la catégorie des lève-tôt que je suis exactement du matin. J'ai le sommeil performant, c'est vrai. J'entends par là qu'il répare le corps autant que faire se peut; de moins en moins efficacement avec les années, mais l'essentiel est là. Pour ce qui est de l'humeur, c'est une autre chanson. Et la solitude n'a rien arrangé...
Les gens ont deux visages, surface et profondeur. Pour certains on est loin de l'iceberg. La première impression est la bonne et il n'est pas nécessaire de beaucoup gratter la couche supérieure pour se rendre compte qu'on a fait le tour du bonhomme et que rien ne vous attend en dessous. Certains portent sur eux l'uniformité de leur médiocrité. Mais d'autres ne cessent de vous étonner ...
J’ai toujours aimé savoir dans quelle merde je marchais. Ça ne change pas l’odeur, mais ça permet de naviguer à vue en pataugeant.