Pour faire souffrir ses semblables, l'homme ne manque jamais d'imagination.
S'il fallait que je craque chaque fois que quelqu'un meure à l'écran, je serais une fissure ambulante.
À ses côtés, j'aurais assisté, pendant des heures, à la lecture du bottin téléphonique par des comédiens amateurs. Sans m'ennuyer, j'en suis sûr.