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Critique de Ladybirdy
Je ne sais pas si les fans d'Anna Gavalda ressentent comme moi ce manque de ses mots, ce rendez-vous une fois encore avec ses personnages attachants, ses histoires où chacun peut s'y reconnaître... Moi elle me manque Anna. C'est ainsi que je me surprends à fouiller à la lettre G dans les rayons de ma bibliothèque et hop je dégotte ce tout petit roman façon nouvelle.
Même si 60 pages c'est vite passé quand les mots nous happent, que la nostalgie d'Ensemble c'est tout traîne encore quelque part, ce roman se déguste néanmoins comme un bref rayon de soleil dans un ciel où plus rien n'a de sens.
Yann est un homme ordinaire, enlisé dans une vie sans saveur, à l'affût de l'échappée belle. Sa soirée chez un couple d'amis emmitouflés dans les couches et les mimiques de leur jeune enfant, la fraîcheur d'une peinture, le bruit, la tendresse, Yann se surprend alors à rêver à mieux pour ses lendemains.
« Coeur affamé. Coeur qui a la dalle. Qui a les crocs. Qui pourrait bouffer l'Arc de triomphe. »
C'est certain, ceux qui savent comprendront...
Même si 60 pages c'est vite passé quand les mots nous happent, que la nostalgie d'Ensemble c'est tout traîne encore quelque part, ce roman se déguste néanmoins comme un bref rayon de soleil dans un ciel où plus rien n'a de sens.
Yann est un homme ordinaire, enlisé dans une vie sans saveur, à l'affût de l'échappée belle. Sa soirée chez un couple d'amis emmitouflés dans les couches et les mimiques de leur jeune enfant, la fraîcheur d'une peinture, le bruit, la tendresse, Yann se surprend alors à rêver à mieux pour ses lendemains.
« Coeur affamé. Coeur qui a la dalle. Qui a les crocs. Qui pourrait bouffer l'Arc de triomphe. »
C'est certain, ceux qui savent comprendront...
