Tout est impératif maintenant dans ma vie. C’est probablement la dernière peine d’amour que je vis. Ça fait mal les dernières fois, c’est vulgaire la vie.
Je suis cette littérature, la littérature honteuse et pleine de regrets. J’ai les paupières cochonnées d’avoir trop souvent fermé les yeux, d’avoir eu trop souvent à le faire.
Tant de raisonnements douloureux, de résonnances magnétiques. Ça sonne presque pareil, mais c'est complètement différent. C'est dans une grosse machine que ça se passe. Les raisonnements, ça ne passe pas. Il n'y a pas la machine pour. Elle n'existe pas encore.
Je suis toujours la plus petite dans les contrastes
Mes histoires ne fonctionnent jamais. C’est pour ça que j’aime la poésie, c’est toujours infini. Les gens qui finissent leurs poèmes par un point, je m’en méfie.