Sylvie Germain a choisi d'écrire un roman qui semble ancré dans la réalité mais qui dérive dans un univers fantastique, un genre littéraire que j'aborde très rarement. C'est aussi un prétexte pour aborder la place de l'homme dans la société, où il y a finalement beaucoup « d'hommes invisibles », à commencer par le père du narrateur, Joël en état végétatif depuis son accident, les personnes que l'on croise chaque jour sans les voir dans la ville. Ceci étant, j'ai eu du mal à entrer dans le livre, peut-être que la narration à la troisième personne alors qu'elle est très incarnée (au sens propre) dans le personnage d'Aurélien y est pour beaucoup.
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