Historien et archéologue, l'auteur nous intéresse par l'évocation des fouilles ainsi que par ces moments où il fait revivre l'histoire ancienne - ici celle des premiers temps du Christianisme.
Par contre l'écriture est assez lâche, les chapitres aucunement liés entre eux, les personnages assez transparents, les méchants inefficaces sinon inconsistants.
Le lecteur suit une quête vaseuse qu'il sait atteindre - lois du genre obligent - sans en avoir vraiment l'envie.
En somme, rien de palpitant dans ce dernier évangile.
qui devrait s'intituler le premier
Seule, peut-être, petite touche d'originalité dans l'écriture: le dévoilement final est remplacé par un épisode de l'antiquité qui vient boucler la boucle.
Premier livre lu de Mr.
Gibbins mais peu prêt à rééditer l'exploit.
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