Une plongée dans le Paris de 1880 et ses femmes peintres, voilà ce que nous propose
Sylvie GIBERT.
Pas facile d'être une femme à la fin du 19ème siècle et pas facile non plus pour elles d'être reconnues comme peintre.
Une institution les a aidées : l'académie Julian. le prix de la formation à payer était malgré tout plus élevé que pour les hommes. Mais elles ont pu en travaillant dur développer leur art.
J'ai bien aimé ce côté du roman qui nous fait découvrir les différentes personnalités de ces femmes qui ont existé. Seul le personnage central, Zélie a été inventé et permet à l'auteur de développer des intrigues nous plongeant à la fois dans la misère et les beaux quartiers parisiens. le commissaire Alexandre d'Arbourg homme cultivé, ami d'
Alphonse Allais et d'
Edgar Degas viendra compléter le tableau avec une intéressante compétition entre la police et la gendarmerie.
Une agréable lecture.
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