Dans ce nouveau roman, l'auteure abandonne le huis clos pour une situation certes peu commune mais dans un environnement plus vaste et une certaine variation sur le thème de la lutte des classes. le prologue ambigu incite le lecteur à le garder en mémoire pour le cas où un indice lui révèlerait la solution. Espoir vain car ce serait sans compter sur l'art de
Giébel de leurrer son lecteur, de le prendre en flagrant délit de légitime élucidation … Un énorme secret de famille va avoir des difficultés à émerger et il faudra aller jusqu'à l'ultime page (522) pour connaître le dénouement. Difficile d'en dire plus sans spolier cependant plus fort à mon sens que «
Satan était un ange » un vrai tour «
de force » de l'une de mes auteures préférées. Une note d'optimisme en toute dernière page …
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