La
Provence profonde dans toute sa splendeur et son horreur,
Jean Giono la vécu.
Les vieux, les malades, les fous, les sources taries, les incendies, les superstitions. Tel sont les themes de ce premier roman parfois un peu laborieux et qui annonce la suite de l'oeuvre de
Giono.
Ici tout est personnification : les sources, les arbres les ombres, le feu, la colline. On aime ou pas ce style avec ces dialogues qui se voudraient du parlé populaire tel que
Giono l'aurait entendu et retranscrit pour le lecteur, mais qui finissent par lasser.
Nettement moins fort émotionnellement que "
un roi sans divertissement" "Colline" n'en demeure pas moins un bon récit sur la ruralité du début du du 20°siècle
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