Et bien c'est simple : ce livre est d'une lourdeur semblable à l'été provençal décrit pendant une bonne partie de l'intrigue. Intrigue ? Mais quelle intrigue ? Un lecteur sur un blog littéraire avait parlé d'éternel premier chapitre, mais en bien. Je suis d'accord avec lui, mais en mal. La description de la mort des choleriques ne m'a pas dérangée. Ce qui m'a le plus dérangée est cet ennui, ces descriptions répétitives - pourtant je crois aimer le lyrisme de
Giono puisque j'avais adoré
Regain - et ce voyage avec un but changeant - rejoindre Giuseppe puis rejoindre Gap. D'ailleurs pourquoi
le Hussard sur le toit ?
Angelo ne passe que très peu de temps sur les toits de Manosque. Bref, 500 pages d'ennui.
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https://tomtomlatomate.wordp.. Commenter  J’apprécie         100