Il me semble indécent de juger les écrits d'un ou d'une endeuillée, mais après tout le texte de B.Giraud sort au grand jour , cela est voulu par elle-même. le grand malheur qui l'a frappée il y a 20 ans, c'est l'accident de moto qui a tué son compagnon.
Elle y revient avec une litanie de « si », malheureusement , on ne refait pas l'histoire avec des « si » , elle restera inconsolable avec les mystères de la vie et de la mort.
Je ne me suis pas sentie invitée dans cette lecture , les motos, la musique de son compagnon sont partagées par des initiés certainement. Ce texte reste sur la liste de certains Prix d'hiver,
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