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Critique de LaurAimeLire
Je découvre Serena Giuliano avec ce roman qui est une merveille.
Rien que le titre me faisait hyper envie car c'est le titre de mon 45T préféré de mon enfance (Al Bano et Romina Power) que j'ai écouté probablement des milliers de fois dans ma chambre... Une vraie madeleine de Proust !
Donc l'auteure nous raconte une histoire d'amitié qui continue au-delà de la mort, et la lente reconstruction de ceux qui continuent de vivre, bouffés par le chagrin.
Valentina, qui organise des mariages dans le nord de l'Italie, est fracassée par le récent décès de sa meilleure amie Azzurra. Elle se raccroche désespérément à sa filleule d'un an, Bianca (fille d'Azzurra), à Federico (mari d'Azzurra) et à Toto son chien. Son équipe professionnelle la soutient aussi au quotidien.
L'auteure décrit habilement les phases du deuil, les signes que l'on attribue aux défunts, mais aussi les souvenirs que l'on se remémore.
Elle parseme des notes d'humour notamment avec les scènes de préparatifs de mariage qui allegent le roman et qui évitent d'être dans le pathos pendant 200 pages.
Et puis j'ai adoré la création d'un journal intime via un email dédié à sa filleule, pour honorer la mémoire d'Azzurra et pour que Bianca puisse découvrir, à ses 18 ans, qui était sa maman.
Bref c'est un vrai coup de coeur. Ce roman m'a fait un bien fou.
🎼
"felicita
E tenersi per mano, andare lontano, la felicita
E il tuo sguardo innocente in mezzo alla gente, la felicita
E restare vicini come bambini, la felicita" 🎼
Rien que le titre me faisait hyper envie car c'est le titre de mon 45T préféré de mon enfance (Al Bano et Romina Power) que j'ai écouté probablement des milliers de fois dans ma chambre... Une vraie madeleine de Proust !
Donc l'auteure nous raconte une histoire d'amitié qui continue au-delà de la mort, et la lente reconstruction de ceux qui continuent de vivre, bouffés par le chagrin.
Valentina, qui organise des mariages dans le nord de l'Italie, est fracassée par le récent décès de sa meilleure amie Azzurra. Elle se raccroche désespérément à sa filleule d'un an, Bianca (fille d'Azzurra), à Federico (mari d'Azzurra) et à Toto son chien. Son équipe professionnelle la soutient aussi au quotidien.
L'auteure décrit habilement les phases du deuil, les signes que l'on attribue aux défunts, mais aussi les souvenirs que l'on se remémore.
Elle parseme des notes d'humour notamment avec les scènes de préparatifs de mariage qui allegent le roman et qui évitent d'être dans le pathos pendant 200 pages.
Et puis j'ai adoré la création d'un journal intime via un email dédié à sa filleule, pour honorer la mémoire d'Azzurra et pour que Bianca puisse découvrir, à ses 18 ans, qui était sa maman.
Bref c'est un vrai coup de coeur. Ce roman m'a fait un bien fou.
🎼
"felicita
E tenersi per mano, andare lontano, la felicita
E il tuo sguardo innocente in mezzo alla gente, la felicita
E restare vicini come bambini, la felicita" 🎼
