>
Critique de Fuyating
Lecture agréable qui sent bon le soleil et la solidarité ! C'était le roman parfait pour mes vacances dans les Pouilles (il a d'ailleurs été évoqué Bari, Alberobello et les Trulli, lieux et habitations typiques que j'ai eu l'occasion de découvrir).
Serena Giuliano est douée pour nous parler de sujets graves avec des accents plus légers. Dans ce roman-ci, il y est question des migrants et du triste sort qui leur est réservé en Italie, mais aussi de la difficulté à faire son deuil d'un être cher.
Les personnages étaient touchants, Maria est l'image même que je me fais de la Mamma italienne, d'une immense générosité, prête â tout pour nous remonter le moral, à base de pasta et de Spritz, mais aussi en montrant son soutien et son amour tout simplement. le trio de Nonni était irresistible, drôle et nous prouve que l'amitié intergénérationnelle existe bel et bien.
Et Sofia, bien sûr Sofia, jeune femme qui a besoin de se reconstruire, sur des bases qui ne semblaient d'ailleurs pas très solides. Elle m'a touchée, dans ses doutes et ses convictions, dans son désir de s'écouter avant de penser aux autres et eans son chemin parcouru.
J'ai aimé le message du roman, cette belle entraide qui règne, la solidarité qui existe entre les villageois, mais aussi peu à peu celle qui se tisse avec des étrangers.
Serena Giuliano nous fait rêver avec ses descriptions de cet Italie ensoleillée, ses mets savoureux, la bonté des Italiens et leur éxubérance, leurs propos francs et sans détours. C'est un beau voyage qui nous est proposé ici.
Mon tout petit bémol serait peut-être que l'écriture est un peu simple et j'aurais adoré avoir des sentiments encore plus détaillés. Néanmoins cela reste une lecture agréable et vraiment parfaite pour ces vacances en Italie.
Serena Giuliano est douée pour nous parler de sujets graves avec des accents plus légers. Dans ce roman-ci, il y est question des migrants et du triste sort qui leur est réservé en Italie, mais aussi de la difficulté à faire son deuil d'un être cher.
Les personnages étaient touchants, Maria est l'image même que je me fais de la Mamma italienne, d'une immense générosité, prête â tout pour nous remonter le moral, à base de pasta et de Spritz, mais aussi en montrant son soutien et son amour tout simplement. le trio de Nonni était irresistible, drôle et nous prouve que l'amitié intergénérationnelle existe bel et bien.
Et Sofia, bien sûr Sofia, jeune femme qui a besoin de se reconstruire, sur des bases qui ne semblaient d'ailleurs pas très solides. Elle m'a touchée, dans ses doutes et ses convictions, dans son désir de s'écouter avant de penser aux autres et eans son chemin parcouru.
J'ai aimé le message du roman, cette belle entraide qui règne, la solidarité qui existe entre les villageois, mais aussi peu à peu celle qui se tisse avec des étrangers.
Serena Giuliano nous fait rêver avec ses descriptions de cet Italie ensoleillée, ses mets savoureux, la bonté des Italiens et leur éxubérance, leurs propos francs et sans détours. C'est un beau voyage qui nous est proposé ici.
Mon tout petit bémol serait peut-être que l'écriture est un peu simple et j'aurais adoré avoir des sentiments encore plus détaillés. Néanmoins cela reste une lecture agréable et vraiment parfaite pour ces vacances en Italie.
