« Il y a la liberté, la liberté à l'état pur. Il y a la beauté du mouvement, sa beauté infinie. Le corps qui se déplace, qui avance, avec agilite, avec lenteur, douleur, mais libre, toujours... Le corps et l'esprit à la recherche de l'harmonie parfaite dans un effort titanesque de confiance et d'abandon, poursuivant l'avancée sauvage vers la liberté totale, celle du mouvement, celle des mouvements de la vie, encore et toujours.
Jusqu'à la fin. Voilà de quoi il s'agit. »
On peut toujours faire mieux. On peut toujours vaincre nos démons. On peut toujours s'accrocher. Se battre. Vaincre une part de soi qui se complaît dans l'ombre, qui appelle au vide. p.99
Dans le cas contraire, en pestant et en faisant la gueule, en me prenant trop au sérieux, je finis généralement dans le troisième sous-sol, abattu, gisant dans une mare de sang métaphorique. Il faut rire, sourire. p.136