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Critique de 19chantal
Le marchand de cercueils - Pouchkine - Adrian Prokhorov est un marchand de cercueils assez maussade et pas forcément très honnête. Invité par l'un de ses voisins à une fête, il boit beaucoup. Prié de boire à la santé de "ses clients", il se vexe et jure d'inviter "ses morts" à la pendaison de sa crémaillère. Ils vont s'inviter dans ses rêves à sa grande frayeur. du fantastique dans un cadre réaliste. du frisson.
Le nez - Gogol - Un barbier trouve un nez dans son petit pain du matin. Il reconnait le nez de Kovaliov, haut fonctionnaire. Il va s'en débarrasser dans la Néva. Kovaliov quant à lui, se réveille sans nez. Il n'a de cesse de le retrouver. C'est l'occasion pour Gogol, de dénoncer la corruption dans les administrations russes. Cette nouvelle est troublante car non réaliste. le fantastique est vraiment très présent. Pas d'explications rationnelles sur la disparition puis la réapparition du nez. L'auteur lui-même qualifie l'histoire de folle.
Apparitions - Tourgueniev - le narrateur voit en rêve une femme blanche qui lui donne rendez-vous la nuit. Ellis,la femme spectrale, l'emmène en voyage dans les airs à travers l'Europe. Ici on est clairement dans le rêve. C'est poétique et moins dérangeant que "Le nez". Des trois nouvelles, c'est celle que j'ai préférée.
Le nez - Gogol - Un barbier trouve un nez dans son petit pain du matin. Il reconnait le nez de Kovaliov, haut fonctionnaire. Il va s'en débarrasser dans la Néva. Kovaliov quant à lui, se réveille sans nez. Il n'a de cesse de le retrouver. C'est l'occasion pour Gogol, de dénoncer la corruption dans les administrations russes. Cette nouvelle est troublante car non réaliste. le fantastique est vraiment très présent. Pas d'explications rationnelles sur la disparition puis la réapparition du nez. L'auteur lui-même qualifie l'histoire de folle.
Apparitions - Tourgueniev - le narrateur voit en rêve une femme blanche qui lui donne rendez-vous la nuit. Ellis,la femme spectrale, l'emmène en voyage dans les airs à travers l'Europe. Ici on est clairement dans le rêve. C'est poétique et moins dérangeant que "Le nez". Des trois nouvelles, c'est celle que j'ai préférée.
